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Volume 3, no.3, printemps 2009
Sommaire
�ditorial

Le r�seau Plan�t’ERE ? Son origine, ses membres, son avenir...

Article �crit par Robert Litzler
Tr�sorier de Plan�t'ERE
[email protected]

Le r�seau Plant�t’ERE est n� le 16 avril 2004, au Mus�um national d’Histoire Naturelle de Paris, lors de l’assembl�e g�n�rale de fondation de l’organisation internationale Plan�t’ERE. Les 84 participants � cette assembl�e sont devenus les premiers membres de ce r�seau. Dolores Ferrari, charg�e des communications y a ajout� les membres du Comit� Consultatif International (CCI) cr�e � l’occasion du premier forum Plan�t’ERE de Montr�al, ainsi que les coordonnateurs nationaux en ERE des pays francophones, identifi� par le Collectif fran�ais d’�ducation � l’environnement lors des pr�paratifs du forum Plan�t’ERE 2 � Paris. Quelques autres membres ajout�s � la faveur de messages re�us au bureau de Plan�t’ERE ont port� ce nombre � un peu plus de 220. Ils sont regroup�s sur la liste [email protected] et re�oivent les informations de membres qui en font partie.

Les membres du r�seau re�oivent notamment le bulletin Plan�t’ERE.net cr�� sp�cialement pour eux pour faciliter les communications entre les membres. Il para�t quatre fois par ann�e au changement de saison, Le premier bulletin est paru � l’automne 2006 et toutes les parutions sont archiv�es sur le site Internet www.planetere.org.

D’abord g�r�e par la Fondation suisse pour l’�ducation � l’environnement (FEE), dont Dolores faisait partie, la liste a �t� par la suite rapatri�e au bureau Plan�t’ERE � Montr�al, � la demande de la FEE, alors en p�riode de restructuration. Pour faire partie du r�seau Plan�t’ERE il suffit de suivre les indications pour vous inscire sur le site de Plan�t'ERE. Le Congr�s mondial de Montr�al nous offrira la possibilit�, non seulement de r�viser la liste, mais aussi d’augmenter consid�rablement le nombre de membres.

N’h�sitez pas � en parler � vos amis en ERE. Dites leur de rejoindre le r�seau Plan�t’ERE. Plus nous serons nombreux, plus nous constituerons une force aux yeux des pouvoirs publics.

Structures Plan�t'ERE

Les bonnes raisons d’�tre membre de Plan�t’ERE


Le 24 novembre 2001, au lendemain de la cl�ture du forum Plan�t’ERE 2 � l’Unesco les coordonnateurs nationaux en ERE d’une vingtaine de pays, r�unis au Minist�re de l’Environnement � Paris, exprimaient le souhait de voir na�tre une organisation qui repr�senterait sur la sc�ne internationale les r�alisations en ERE des pays qui ont le Fran�ais en partage.

En 2004 l’O.I. Plan�t’ERE est n�e et le Burkina Faso organisait l’ann�e suivante le forum Plan�t’ERE 3. L’assembl�e g�n�rale �lisait un conseil d’administration de 26 membres et confirmait le Coll�ge de Rosemont de Montr�al comme lieu pour h�berger le si�ge social de Plan�t’ERE et l’Association qu�b�coise pour la promotion de l’�ducation relative � l’environnement (AQPERE) pour g�rer le secr�tariat de l’organisation.

Le d�veloppement de Plan�t’ERE ne peut pas se faire sur l’action unique de b�n�voles; elle a besoin de membres cotisants pour cr�er une base financi�re qui sert de levier afin d'obtenir des ressources additionnelles et b�tir des projets qui int�resseront des partenaires financiers. Jusqu’� maintenant nous avons pu b�n�ficier de l’appui de l’AQPERE pour cr�er le bulletin �lectronique Plan�t’ERE.net et en publier 9 num�ros.

Le r�pertoire des ressources en ERE de la francophonie, dont nous annon�ons aujourd’hui le chantier, n�cessitera beaucoup plus de ressources et nous pourrons les trouver si nous sommes en mesure de d�montrer que nous rejoignons un nombre important de membres qui honorent leur cotisation annuelle.

La reconnaissance de Plan�t’ERE comme groupe d’influence sera bas�e sur ses r�alisations. C’est pour cela que nous avons estim� important que notre organisation joue un r�le majeur au Congr�s mondial d’�ducation relative � l’environnement et que nous profitions ainsi de nous faire conna�tre aupr�s des participants de cet important Rendez-vous.

Nous invitons donc nos lecteurs qui croient en la mission et les objectifs poursuivis par Plan�t’ERE, de bien vouloir se conformer aux recommandations qui suivent pour nous envoyer leur cotisation pour l’ann�e en cours en se servant d’une des modalit�s de paiement indiqu�es.

Merci � tous
Robert Litzler
Tr�sorier de Plan�t’ERE


Devenez membre de Plan�t'ERE d�s maintenant, en bonne et due forme

Tel que promis, nous avons simplifi� le mode de paiement de votre adh�sion au r�seau Plan�t'ERE. Maintenant trois fa�ons de payer sont offertes aux pays hors-Canada.

Pour adh�rer � l’Organisation Internationale Plan�t’ERE, toute organisation doit :

- Remplir le bulletin d’adh�sion qui se trouve ci-dessous ;
- Fournir une preuve du statut qui permet de confirmer la cat�gorie de votre organisation ;
- Payer sa cotisation d'une des trois fa�ons suivantes.

Modes de paiement possibles :

Hors Canada :

Il suffit pour vous soit :

1) d’aller � votre banque afin de faire faire un ch�que certifi� en euros, au nom de Plan�t’ERE, au montant indiqu� dans le bulletin d’adh�sion non-canadien (voir ci-dessous en PDF) ;

ou

2) d’obtenir un moneygram ou un mandat postal en euros au bureau de poste, fait au nom de Plan�t’ERE, au montant de votre adh�sion � Plan�t’ERE (voir le bulletin d’adh�sion non-canadien ci-dessous). Joignez-le ensuite � votre formulaire et postez-les � l’adresse suivante:

Secr�tariat g�n�ral Plan�t’ERE
6400, 16e avenue
Montr�al (Qu�bec)
Canada
H1X 2S9

ou

3) suivre les instructions de virement �lectronique indiqu�es dans le bulletin d'adh�sion, et envoyer ce bulletin par la poste � l'adresse ci-haut.

Canada :

Envoyez simplement un ch�que en dollars canadiens avec votre bulletin d’adh�sion canadien ci-dessous en PDF, � l’adresse ci-haut.

Un GROS MERCI � l'avance � ceux et celles qui deviendront officiellement membres!


Participez � la production du
R�pertoire des ressources en ERE de la Francophonie

Article �crit par Robert Litzler
Tr�sorier de Plan�t'ERE
[email protected]

Francophonie

Afin de dynamiser le r�seau Planet’ERE, plusieurs lecteurs du bulletin Plan�t’ERE.net ont demand� � notre ex�cutif de proposer un projet qui, non seulement ferait participer tout le r�seau, mais profiterait � tous ses membres. Nous soumettons donc, dans ce bulletin, un questionnaire en vue de la production du R�pertoire des ressources en �ducation relative � l’environnement dans la Francophonie� en deux volets, le premier destin� aux ONG, mus�es, institutions et organisations, oeuvrant en �ducation relative � l’environnement, le second pour les personnes actives en ERE.

� partir des r�ponses, que nous souhaitons nombreuses, le bureau de Plan�t’ERE b�tira le r�pertoire des ressources en ERE de la francophonie.

L’id�e de b�tir un tel outil ne date pas d’aujourd’hui, puisqu’� chacun des 3 forums Plan�t’ERE (Montr�al,1997 – Paris, 2001 – Ouagadougou, 2005) elle figurait dans les recommandations dans la synth�se du forum. Mais aujourd’hui le contexte du 5e Congr�s mondial d’�ducation relative � l’environnement s’y pr�te particuli�rement bien.

Le comit� organisateur du congr�s a en effet re�u plus de 300 communications provenant de participants individuels ou repr�sentant des groupes oeuvrant en ERE et appartenant � l’espace francophone. Nous communiquerons avec eux dans les prochains jours et esp�rons les retrouver au forum des ONG du congr�s, qui sera anim� par Plan�t’ERE. Nous leur demanderons de diffuser le questionnaire dans leurs propres r�seaux, ce qui contribuerait � �largir de mani�re importante le r�seau Plan�t’ERE.

Robert Litzler
Membre du comit� ex�cutif de Plan�t’ERE
Secr�taire du 5e Congr�s mondial
d’�ducation relative � l’environnement
www.5weec.uqam.ca

Remplissez le questionnaire ici (en Word).
Retournez le questionnaire rempli � : [email protected]


Le Programme du Congr�s mondial en ERE est sorti !

Canada

Dans la derni�re �dition du bulletin du 5e Congr�s mondial en ERE, trouvez :

  • Le programme des conf�rences;
  • L'appel de communication du Forum des ONG;
  • Les activit�s en parall�le du congr�s :
    Les enfants du monde;
    • L'�co-spectacle;
    • Festival international du conte environnemental ;
    • CinERE - Fen�tre sur le monde;
    • Des visites �ducatives
  • R�servations d'h�bergement en cours

Plan�t’ERE et le forum des ONG au 5e Congr�s mondial d'ERE


Canada

L’Organisation Internationale Plan�t’ERE a d�j� fait conna�tre dans son bulletin �lectronique de d�cembre (voir www.planetere.org), qu’elle animera le forum des ONG � l’occasion du 5e congr�s mondial d’�ducation relative � l’environnement de Montr�al. Nous pr�cisons dans les lignes qui suivent comment se fera cette animation.

Ma�tre de c�r�monie du Forum des ONG
Mamadou Bhoye Bah
Membre du C.A. de Plan�t’ERE
Ma�tre de c�r�monie du forum des ONG

Ma�tre de c�r�monie

C’est M. Mamadou Bhoye Bah originaire de la Guin�e, membre du C.A. de Plan�t’ERE, doctorant en �ducation sous la direction de Lucie Sauv� (Chaire de recherche du Canada en �ducation relative � l’environnement), qui agira comme ma�tre de c�r�monie et animateur principal du forum des ONG.

S�ance d’ouverture : lundi 11 mai de 15h30 � 17h30

La s�ance d’ouverture sera pr�sid�e par Mme Araba Kadidiatou Yonli, Pr�sidente de Plan�t’ERE, qui fera une br�ve allocution. Cette premi�re allocution sera suivie de celle de Mme Ginette Bureau, Pr�sidente Directrice G�n�rale de la Soci�t� d’�tat Recyc-Qu�bec, commanditaire officiel du forum des ONG.

Suivront ensuite trois repr�sentants de trois ONG, respectivement d’expression fran�aise, anglaise et espagnole pour commenter les trois questions transversales du congr�s, � savoir:

Comment l’�ducation relative � l’environnement peut-elle

  1. enrichir le sens de nos vies ?
  2. contribuer � l’innovation sociale ?
  3. influencer les politiques publiques ?

Lire la suite en page 2.


Bienvenue � la 4e rencontre du C.A. de Plan�t’ERE, 15 mai 2009 � Montr�al

Auteur : Pascal Labont�
Secr�taire g�n�ral de Plan�t’ERE
[email protected]

Canada

La 4e rencontre du Conseil d'Administration (C.A.), initialement pr�vue au mois d’octobre 2008 � Bordeaux � l’occasion de la Conf�rence internationale sur l’�ducation au d�veloppement durable, n’a pu avoir lieu, la plupart de nos membres africains n’ayant pu obtenir leur billet d’avion. En remplacement, nous avions r�uni au lendemain de la conf�rence, une vingtaine de participants � une rencontre informelle dont j’ai reproduit le compte-rendu dans le bulletin Plan�t’ERE.net de d�cembre (voir�: www.planetere,org - bilan en PDF ).

M�me si tous ne pourront sans doute pas se joindre � nous physiquement, le 5e Congr�s mondial d’�ducation relative � l’environnement se pr�sente mieux � cet �gard et il y a quelques semaines les membres du Conseil d’administration de Plan�t’ERE ont re�u de la pr�sidente Araba Kadidiatou Yonli, la convocation � la 4e rencontre du C.A. qui se tiendra � la salle du conseil du Coll�ge de Rosemont, si�ge social de Plan�t’ERE le 15 mai de 9h � 16h.

L’ordre du jour reprendra les points essentiels des d�bats de la rencontre de Bordeaux, mais l’ex�cutif invite les membres qui ne pourront �tre pr�sents physiquement � nous faire des propositions, que nous inclurons dans l’ordre du jour que tous recevront dans quelques semaines. On conna�tra alors ceux qui seront pr�sents pour que les absents puissent leur donner une procuration.

Collectifs nationaux

L’ERE, le parent pauvre de la conservation en Afrique centrale

Article �crit par HEGA Martin Fridolin
Gestionnaire du projet "Monts de Cristal"
hegafridolin[@]yahoo.com

Afrique centrale

Le REEDDAC (R�seau d’�ducation Environnementale pour le D�veloppement Durable en Afrique Centrale) vient de tenir du 17 au 19 D�cembre 2008 son 2e forum � Brazzaville au Congo sur le th�me de la consommation de la viande de brousse.

Malgr� tous les efforts consentis le constat reste le m�me: les grands programmes et projets de conservation des for�ts du Bassin du Congo laissent tr�s peu de place au volet "�ducation Environnementale".

Il est possible pour le constater, de vous posez les questions suivantes�:

  • Combien de personnes sp�cialis�es en ERE travaillent dans votre organisation�?
  • Quels sont les �quipements techniques qui existent pour l’ERE dans votre organisation�?
  • Dans le budget de votre organisation, quel est le pourcentage allou� � l’ERE�?
  • Les activit�s d’ERE entrent-elles dans une strat�gie globale sur le long terme�?

Vous constaterez avec amertume que l’ERE reste une panac�e pour la plupart des organisations dans la mesure o� elle contribue souvent � embellir les rapports annuels r�dig�s pour les bailleurs.

Selon un sondage r�alis� aupr�s d’une dizaine d’organisations lors d’un atelier en Tanzanie (MWEKA college) au pied du Mont Kilimandjaro, le pourcentage r�serv� au volet ‘ERE’ pour tous les participants (dont l’organisation avait un volet ERE) oscillait entre 5 et 15 %. Ce qui est marginal lorsque l’on sait combien de fois, la mise en place d’un v�ritable programme d’ERE peut faciliter l’implantation et la p�rennit� d’un programme de conservation dans une r�gion.

Lire la suite en page 2.


Les d�fis environnementaux au Tchad

Article �crit par ADAM ABAKAR KAYAYE
Commission �ducation Environnementale
Association Jeunesse Anti Clivage
Membre du C.A. de Plan�t'ere au Tchad
TEL +2356235732/+2359235732
Kayaye76[@]yahoo.fr

Tchad

Les d�fis environnementaux au Tchad, domin�s par les ph�nom�nes de la s�cheresse et de la d�sertification, sont caus�s par la fragilit� naturelle des milieux : les �l�vations des temp�ratures li�es aux changements climatiques entra�nant des vents secs, chauds et violents. Les pluies sont globalement faibles et al�atoires (ph�nom�ne de s�cheresse) et un alb�do g�n�ral tr�s �lev�. Les cons�quences sur les ressources naturelles sont nombreuses :

  • faible hygrom�trie de l’air;
  • v�g�tations pyrophytes propices � la propagation des feux de brousse;
  • aridisation, alcalinisation et �rosion des sols
  • ensablement et salinisation des points d’eau…

La croissance d�mographique et les d�placements des personnes li�s aux conflits arm�s, entra�nent une concentration de plus en plus nombreuse des populations dans les villes et dans certaines r�gions rurales du pays et sont � la racine de nombreux probl�mes environnementaux, notamment la d�sertification.

En milieu rural, cette concentration/augmentation des populations....Lire la suite en page 2.


Nature et soci�t�s rurales au Burkina Faso :
Quelle strat�gie d'intervention p�dagogique et environnementale ?

Article �crit par Drabo Ibrahima
G�ographe/Conseiller P�dagogique et Expert en environnement au Minist�re des Enseignements Secondaire, Sup�rieuret de la Recherche Scientifique
Burkina Faso
draboibra[@]yahoo.fr

�

Sahel - Burkina Faso

Les projets de d�veloppement initi�s dans les pays du Sahel en g�n�ral et au Burkina Faso en particulier ont pour la plupart �t� des �checs. Ceux qui sont en cours sont loin d'obtenir les r�sultats escompt�s. Pendant ce temps les programmes d'�ducation, d'animation et de vulgarisation mis en oeuvre pour dynamiser ces projets s'av�rent incoh�rents et inefficaces. Les raisons avanc�es pour justifier l'�chec de ces projets se r�sument g�n�ralement � la faible participation voire au refus des populations rurales de collaborer et � l'inefficacit� des agents de d�veloppement qui interviennent directement sur le terrain.

Dans la pr�sente �tude nous avons montr� qu'au del� des raisons �voqu�es plus haut pour justifier l'�chec de ces projets de d�veloppement, se cachent des raisons plus profondes: celles li�es aux strat�gies d'intervention �ducative mises en oeuvre et les mod�les de participation qui en d�coulent. En effet, la fa�on de concevoir les projets de d�veloppement et les techniques de formation g�n�ralement utilis�es pour dynamiser leur efficacit� est � r�viser car les actions conduites jusqu'� pr�sent sur le terrain se caract�risent par une insuffisance d'expertise p�dagogique appropri�e pour adresser les questions de changement d'�thique vis-�-vis de l'environnement de fa�on holistique. Dans cette �tude nous avons focalis� notre r�flexion sur les d�marches m�thodologiques pertinentes en mati�re d'ERE en milieu communautaire rural afin de renforcer l'efficacit� de ces projets et d'obtenir une participation responsable des populations rurales.

T�l�chargez le r�sum� de 6 pages de cette �tude (PDF), en cliquant ici.


Syndicalisme et ERE au Burkina Faso - Bilan 2007/2008

Article �crit par GUIBRE Evariste
Repr�sentant syndical de l’ERE
Membre du C.A. Plan�t’ERE
BURKINA FASO

Burkina Faso

L’ann�e scolaire 2007/2008 aura �t� marqu�e par deux moments majeurs de la vie syndicale�en ce qui concerne l’�ducation Relative � l’Environnement (ERE).

D’abord, dans la mise en œuvre de la r�forme du syst�me �ducatif – en marge de l’application de l’approche par les comp�tences, de la r�alisation progressive de la gratuit� de l’�ducation pour tous… -, les syndicats d’enseignants avaient nourri l’espoir de voir s’appliquer le nouveau programme d’�ducation civique, qui contient des modules d’ERE, consign�s depuis 2001 dans la Strat�gie Nationale d’�ducation environnementale, Burkina Faso. Malheureusement, les professeurs ont refus� d’enseigner ces modules, se justifiant par l’absence des mesures d’accompagnement souhait�es�: diminution des volumes horaires des professeurs dont les disciplines sont concern�es par le projet (Histoire et G�ographie, Fran�ais, Philosophie, SVT), compensations financi�res, formation des enseignants, clarification du statut de l’�ducation civique par rapport aux autres disciplines du baccalaur�at.

Ensuite, notons que les syndicats ont organis� les 29 et 30 d�cembre 2008 une session de formation sur l’�cocitoyennet� et le d�veloppement durable, au profit de 85 dirigeants syndicaux, dans l’optique de palier l’insuffisance de formation sur le sujet. Cette activit� qui a �t� enti�rement financ�e par l’UNESCO est une premi�re au BURKINA FASO. Car, en marge de l’unit� d’action souvent balbutiante autour des revendications corporatistes, ces nombreux syndicats ne s’�taient jamais tous retrouv�s autour d’une quelconque activit� de l’ERE. Cette formation a permis d'identifier une vingtaine d’�cogestes en vue d’accompagner par des actes concrets la politique nationale de protection de l’environnement.


Le S�n�gal � pied d’œuvre pour trouver sa place dans les actions de promotion de l’ERE pour le d�veloppement durable

Article �crit par
Mahamadoul Hady GUEYE,
Comit� des Educatrices et Educateurs s�n�galais (e)s pour l’ERE
CEESERE/UDEN, Dakar, S�n�gal

S�n�gal

L’alerte est donn�e, pour agir sans tarder dans le domaine de l’�ducation � l'environnement,� en ciblant� particuli�rement le secteur de l’�ducation, la jeunesse scolaire.

Ainsi, les actrices et acteurs entendent corriger les approches qui, par le pass�, n’�taient pas assez inclusives de la dimension �ducation�: co-construire avec les communaut�s et impliquer strat�giquement les g�n�rations de demain, c’est cela� le d�fi de la soci�t� civile / ONG /associations. La journ�e mondiale sur l’environnement offre d’excellentes �opportunit�s, comme un moment fort d’apprentissage collectif,� d’exercice participatif et �de partage des meilleures pratiques.

On peut noter que de plus en plus, les actrices et acteurs prennent pour ainsi dire leurs responsabilit�s en allant � la rencontre de l’�tat.

Cependant, bien des difficult�s existent au chapitre de la mise en r�seau et des moyens, mais l’�ducation relative � l’environnement pour le d�veloppement durable a encore la cote�; le groupe issu de Plan�t’ERE 3 de Ouagadougou a certainement un r�le d�cisif � jouer dans sa promotion, afin de contribuer� de mani�re plus active, � la construction des r�ponses qui int�grent suffisamment la durabilit�: l’id�e d’un collectif national en ERE est parvenu � maturit�.

Lisez en page 2 les belles initiatives men�es par diff�rents individus et groupes du S�n�gal pour l'avancement de l'ERE dans ce pays.

Formations en ERE

Les grands t�moins

France

Des acteurs r�f�rents en �ducation � l'environnement t�moignent et partagent leurs r�flexions sur un point pr�cis d'�ducation � l'environnement et expriment leurs convictions. D�couvrez les vid�os ci-dessous.

(Source : site de l'ONG �cole et Nature en France)

Jean Marie Pelt, botaniste et �crivain de renom, t�moigne

�pisode n�1 : Vers quelles valeurs aller pour notre soci�t� ? : Jean Marie Pelt nous pr�sente les 4 valeurs auxquelles il lui semble indispensable d'adh�rer pour aller vers un monde soutenable. Il insiste beaucoup sur la justice sociale, c'est un fait � noter.

Dominique Cottereau nous parle de l'�co-formation

�pisode n�1 : Les 3 ma�tres : Dominique nous parle du travail de Gaston Pineau revisitant les 3 ma�tres d'apr�s Jean-Jacques Rousseaux : les autres, les choses et notre nature personnelle...

�pisode n�2 : L'�co-formation : Dominique Cottereau pr�sente l'�co-formation, comment notre environnement nous forme, comment nous r�agissons � la mati�re qui nous entoure. L'�co-formation ou expliciter la connaissance silencieuse, implicite que nous avons de notre environnement.

�pisode n�3 : La p�dagogie de l'�co-formation : Dominique Cottereau nous rappelle l'importance du rapport premier entre l'homme et la mati�re, le besoin de mettre tout le monde dans le milieu et d'utiliser des formes p�dagogiques impliquantes.

�pisode n�4 : Retours sur exp�rience : Dominique Cottereau nous explique pourquoi il est si important de ne pas se contenter de l'exp�rience v�cue dans le milieu naturel et de prendre, par l'expression des ressentis, du recul sur celle-ci.

�pisode n�5 : Les 4 �l�ments : Dominique parle de la place que les 4 �l�ments occupent dans notre relation au monde.

Le point de vue de Louis Espinassous

7. Courir c'est essentiel : Louis nous rappelle le bonheur et le besoin de d�penser son �nergie en toute libert�, sans barri�re, pour rien!

6. Le r�el : Les images du r�el nous viennent via les DVD et �missions de t�l�. Louis nous explique pourquoi les images ne sont pas le r�el et comment �tre dans le r�el.

5. T'as-vu l'ours�? �: Louis raconte sa rencontre avec l'ours.

4. Mettez les enfants dehors! : Louis Espinassous nous explique pourquoi il est important de mettre les enfants dehors, lieu et moyen exceptionnel d'�ducation. La nature fait appel � l'�tre dans son entier, son corps, ses 5 sens, son imaginaire, sa mise en action�

3 .La s�curit� et la peur: Louis nous parle de la question de la s�curit� lorsque l'on est dehors avec des enfants. La peur pour la s�curit� physique et affective des jeunes, l'acceptation de cette peur pour progresser et faire quand m�me, les limites � poser pour faire en toute s�curit�....

2 .La nuit est notre d�sert :�Louis nous parle de l'impact et de l'importance du d�sert chez des adolescents. Les nuits offrent un d�sert facilement accessible comme par exemple lors des nuits hivernales, de pleine lune, pass�es au coeur des Pyr�n�es.

1 .Relation homme/animal et homme/v�g�tal en EE :Louis nous parle de la relation homme/v�g�tal et homme/animal.

carrefour coop�rant

Volontaires recherch�s pour des chantiers en Afrique

Vous avez plus de 17 ans et avez toujours r�v� d'offrir votre aide pour aider un village � se revitaliser ? Carrefour Tiers Monde - Togo vous offre la chance de participer � un camp chantier international cet �t� au Togo.

Chaque s�jour porte sur une th�matique sp�cifique, tel l'animation et le reboisement, la sant� et l'aide scolaire, les droits et protection de l'Enfant et l'assainissement, un chantier touristique, etc.

Il est pr�f�rable de s'inscrire en avril et mai, car le nombre de personnes re�ues est limit�.


Le R�seau �cole et Nature impliqu� concr�tement

Article �crit par
Roland G�rard
R�seau �cole et nature
roland.gerard[@]ecole-et-nature.org

France...et ailleurs

Les adh�rents du R�seau �cole et nature (REN) ce sont : Th�r�se Gernigon qui fait vivre des clubs en Alg�rie. C'est Philippe Rabatel qui est en lien avec Alphonse, institu� au Burkina depuis Planet'ERE 3. C'est S�bastien Carlier qui approfondit un peu tous les ans les liens entre le parc r�gional des Landes de Gascogne et les acteurs (artistes, enseignants…) de la province d’El-Hajeb au Maroc. C'est "Plume" qui ne compte plus les s�jours au Burkina depuis 2005. C'est G�raldine Couteau qui est pass�e de son CPIE de Franche-Comt� � Ha�ti pour y poursuivre sa pratique �ducative…

Je leur ai demand� " Pourquoi travailles-tu avec le Sud ? " Les r�ponses sont simples, �videntes. "C'est pour la richesse des rencontres et des �changes". "La diff�rence de culture renforce le plaisir de la rencontre, ce n'est pas parce que c'est mieux l�-bas, c'est parce que c'est tr�s diff�rent". "Pour que mes �l�ves puissent construire une relation au monde, une ouverture vers d'autres cultures��. "C'est d�couvrir d'autres fa�ons d'�tre au monde, de penser la relation � l'autre, de penser l'�ducation".

Le REN ce sont des personnes sensibles aux probl�mes �cologiques et impliqu�es dans l’�ducation. Ces personnes sont dans la culture du projet et de l’action concr�te. Nous souhaitons multiplier les occasions de rencontres pour multiplier les �changes. Nous souhaitons construire une multitude d’�changes durables entre des personnes qui se connaissent, se respectent, s’appr�cient et savent s’impliquer pour le long terme, mais pour cela il y a une n�cessit�, c’est la rencontre. http://ecole-et-nature.org/papyrus.php.


Poste - Charg� de programme et coordonnateur du programme r�gional d’�ducation environnementale pour la zone c�ti�re d’Afrique de l’Ouest.

Appel lanc� par
Monique Trudel
Consultante internationale en formation, �ducation, communication
EDUCOM environnement
[email protected]

Guin�e Bissau - UICN

Dans le dernier bulletin, nous vous avons rapport� la rencontre des acteurs de l’�ducation et de la communication environnementale r�unis les 10 et 11 d�cembre 2008 � Bissau (Guin�e Bissau) pour le d�marrage du Projet R�gional d’�ducation � l’Environnement (PREE) c�tier dans les sept pays de la zone d’intervention du programme R�gional de Conservation de la zone C�ti�re et Marine (PRCM). Les pays concern�s sont le Cap Vert, la Gambie, la Guin�e, la Guin�e Bissau, la Mauritanie, le S�n�gal et La Sierra Leone.

Ce programme, d�velopp� par Oumar Sy du S�n�gal et Monique Trudel du Canada, tous deux membres du C.A. de Plan�t’ERE vise la mobilisation et le partage des connaissances scientifiques et des savoirs locaux. Le programme entend ainsi cr�er une relation forte entre les �coles et les communaut�s locales au b�n�fice de la conservation et du d�veloppement durable de la zone c�ti�re en Afrique de l’ouest.

Aujourd’hui l’UICN et le PRCM sont � la recherche d’un coordonnateur s�nior pouvant jumeler le poste de coordonnateur du PREE et celui de charg� de programme. La personne sera bas�e � Bissau et voyagera r�guli�rement dans les pays concern�s.

Pour de plus amples informations, veuillez lire l’annonce de poste ci-dessous et contacter l’UICN.

Avec l’espoir que le PREE prenne vie rapidement,
Monique Trudel

Fichier attach�: Annonce de Vacances de poste Charg� de programme, bureau de l’UICN en Guin�e Bissau (.doc).
Pour plus d’information�: Pierre.campredon[@]iucn.org et nelson.gomes.dias[@]iucn.org
Pour mieux conna�tre le PRCM�: http://www.prcmarine.org/

PUBLICATIONS

Des revues vertes et en sant� gagnent en popularit�

�ducation relative � l'environnement : Regards - Recherches - R�flexions est une revue internationale sp�cialis�e en ERE et publi�e annuellement. Le num�ro de 2008 portait sur La dimension critique de l'ERE. Le prochain num�ro portera sur L'�thique et l'ERE. Pour la recevoir par la poste, commandez sur le site.

Symbioses, le magazine de l'�ducation � l'environnement propose un num�ro sur l' "�ducation � l'environnement: r�veillez l'artiste qui sommeille en vous !" (commandez ici) ou t�l�chargez le pr�c�dent "Pr�carit� : une question d'environnement ? " (PDF);

BIOINFO est un magazine belge mensuel (40.000 exemplaires) r�alis� par des journalistes et des chroniqueurs professionnels. Les anciens num�ros peuvent �tre t�l�charg�s gratuitement sur le site du magazine.


Le r�le �cologique des lombrics

Cet ouvrage propose de d�couvrir de mani�re ludique et humoristique le mode de vie des vers de terre et leur r�le �cologique, � travers les aventures de Fil le jardinier, un sympathique lombric. On peut dire que Myriam Marquet a r�ussi son pari : faire appr�cier de tout le monde ces petites b�tes bien utiles! Et les collages de S�verine Dalla permettent aux enfants de se familiariser avec diff�rentes textures naturelles. Le plus : un guide d'observation des lombrics pour les �tudier en classe ou � la maison.


Glossaire pour le d�veloppement durable
Des mots pour les maux de la Plan�te

Article �crit par Pierre DUTUIT
pierre.dutuit[@]u-psud.fr
Laboratoire d'Ecotechnologie, Universit� Paris-Sud

France

Ce glossaire a �t� r�dig� pour r�pondre aux besoins p�dagogiques d'une formation scientifique au d�veloppement durable. Le contenu est adapt� au premier cycle universitaire et rel�ve des grands sujets du d�veloppement durable : changement climatique, �rosion de la biodiversit�, s�curit� alimentaire, gestion des eaux et des sols, etc.

Les auteurs esp�rent, au travers de cette premi�re �dition, susciter des contributions tr�s diverses, pour faire de cet ouvrage un outil p�dagogique ouvert aux diff�rentes approches des questions relatives au d�veloppement durable.

Lire la suite en page 2.

�v�nements

Porteurs d'ErE vise � mieux faire (re)conna�tre l'ErE et ses acteurs

Belgique

Le R�seau ID�e de Belgique lance la campagne Porteurs d'ErE. Elle s'adresse aux adultes et jeunes de plus de 16 ans, enseignants, organisations socio-culturelles, parents, artistes, �co-conseillers, �lus, journalistes… sensibles aux questions d'�ducation et d'environnement et souhaitant s'y impliquer. Elle est relay�e par les membres du R�seau ID�e et les participants au Parcours d'ErE.

Voil� une campagne inspirante qui pourrait �tre reproduite dans d'autres pays !?


L'�ducation au d�veloppement durable est bien install�e
dans la Communaut� urbaine de Lyon

France
Article �crit par Olivier Martel

La communaut� urbaine lyonnaise, en France, d�veloppe depuis 1992 une strat�gie de d�veloppement durable. L'espace consacr� � l'�ducation � l'environnement y est impressionnante.

Lisez la petite histoire d'une r�gion durable en page 2.

Calendrier

4e Conf�rence annuelle des Centres r�gionaux d’expertise en �ducation au d�veloppement durable de l’Universit� des Nations-Unies


Canada, du 13 au 15 mai 2009

Pour plus d’information
Th�r�se Drapeau, Environnement Canada
(514) 282-9989
[email protected]

L’Universit� des Nations Unies tiendra la 4e Conf�rence annuelle de tous les Centres r�gionaux d’expertise (CER) en �ducation au d�veloppement durable � Montr�al en marge du 5e Congr�s mondial en ERE, soit du 13 au 15 mai 2009. Cette rencontre aura lieu � la Biosph�re d’Environnement Canada. Le r�seau international des CER compte dans ses rangs des villes canadiennes d’importance comme Montr�al, Toronto, Sudbury et Saskatoon. Le CER de Montr�al regroupe une cinquantaine de partenaires d�j� engag�s, avec plusieurs membres du CFQ, dans le Plan strat�gique de d�veloppement durable de la collectivit� montr�alaise.

Rappelons qu’il y a aujourd’hui un consensus sur la compl�mentarit� de l’�ducation formelle, informelle et non-formelle. La synergie des efforts d’experts et de praticiens de toutes disciplines et de toutes provenances peut favoriser l’augmentation des connaissances et la capacit� d’agir des citoyens. Le concept des CER est bas� sur cette approche. On y encourage la collaboration, sur une base volontaire, d’intervenants des secteurs publics, priv�s et associatifs autour d’enjeux locaux qui les rassemblent. Les savoirs et exp�riences ainsi mis en commun constitueront un ensemble global d’apprentissage pour le d�veloppement durable.

Sous l’�gide de l’Universit� des Nations-Unies (UNU) qui les accr�dite, les premiers CER ont vu le jour depuis 2005, d’abord dans la r�gion d’Asie Pacifique puis en Afrique, en Europe et en Am�rique.

Site EDD de l’UNU.

CER canadiens�:


Les �ducateurs en environnement se rencontrent

Des acteurs de l'ERE se rencontrent. Voici quelques dates � retenir et des liens vers plus d'informations :

Envoyez-nous vos �v�nements � [email protected].


Autres rencontres d'int�r�t

opinions

A vendre : pays pauvres

P�re Maurice Oudet, Pr�sident du SEDELAN
sedelan[@]abcburkina.net

Burkina Faso
Texte tir� du site ABCBurkina.net
par Maurice Oudet, Pr�sident du SEDELAN
Koudougou, le 5 janvier 2009

En d�cembre 2008, nous avons �voqu� ce th�me avec le n� 309 : Main basse sur les terres agricoles. La menace se faisant de plus en plus pressante, nous y revenons. Avec humour, parfois les burkinab�s plaisantent entre eux : � Notre chance, c’est d’�tre pauvres. Nous n’avons pas de p�trole, pas de grandes richesses mini�res connues. Les grandes puissances nous laissent tranquilles. Nous vivons dans la paix. � Mais voici que cette nouvelle menace concerne, en premier lieu, les pays pauvres. Le Burkina pourra-t-il y �chapper ?

A vendre : pays pauvre
Pris dans le � train-train � quotidien, la r�alit� occidentale nous pousse parfois � ranger nos plumes voire nos aquarelles afin de ramener de quoi se mettre sous la dent, payer son loyer et �viter les courriers humiliants et incendiaires que la banque nous envoie parce que nous sommes � d�couvert.

Affal� sur le canap�, je lis � Le Nouvel observateur � quand, tombant sur un article intitul� � A vendre : pays pauvres � mon sang n’a fait qu’un demi-tour. Et figurez-vous, on y fait mention du Congo, une fois de plus. Le pays dans lequel je suis n� est � vendre ; sapristi la mal�diction se poursuit!

La Chine est pr�te � bondir sur un million d’hectares de terre pour y faire une agriculture intensive afin de nourrir son milliard d’habitants. Pendant ce temps, l’œuf et la farine de manioc que l’on mange � Brazzaville proviennent respectivement du Cameroun voisin et du Congo-D�mocratique ; allez donc comprendre!

Lire la suite ainsi que de nombreux textes forts int�ressants sur SEDELAN.


Pourquoi s’emparer des conclusions du Grenelle ?

Roland Girard
R�seau �cole et nature
roland.gerard[@]ecole-et-nature.org

France

Nous l’avons d�j� vu : l’�ducation n’a pas eu sa part lors du Grenelle, il faudra y revenir. Les acteurs de l’�ducation � l’environnement vers un d�veloppement durable ont toutefois identifi� des avanc�es m�thodologiques ind�niables. Ces avanc�es, si elles restent insuffisantes, m�ritent d’�tre connues, les acteurs dans les territoires peuvent s’appuyer dessus pour promouvoir la capacit� de "faire ensemble". Il y a, dans les conclusions du comop 34 en particulier, des arguments qu’on aurait tort de n�gliger.

Lire le texte complet sur AgoraVox.

impressum

R�daction et production

Pr�sent�es par ordre alphab�tique,
les personnes suivantes ont collabor� au
pr�sent num�ro du bulletin Plan�t’ERE.net

Brigitte Blais
Communications Terre-�-Terre, Canada
Laurence Bri�re
5WEEC
Mamadou Bhoye Bah
Secr�taire administratif de l'AGPEED
Pierre Dutruit
Laboratoire d'�cotechnologie, Universit� Paris-Sud
Th�r�se Drapeau
Environnement Canada
Roland Girard
R�seau �cole et nature
Mahamadoul Hady Gueye
Comit� des �ducatrices et �ducateurs s�n�galais (e)s pour l’ERE
Evariste Guibre
Repr�sentant syndical de l’ERE, Membre du C.A. Plan�t’ERE, BURKINA FASO
HEGA Martin Fridolin
Gestionnaire du projet "Monts de Cristal", Afrique Centrale
Drabo Ibrahima
Minist�re des Enseignements Secondaire, Sup�rieur et de la Recherche Scientifique, Burkina Faso
ADAM ABAKAR KAYAYE
Commission Education Environnementale, Association Jeunesse Anti Clivage, Tchad
Olivier Martel
Responsable de l’�ducation au d�veloppement durable, Grand Lyon, France
P�re Maurice Oudet (participation indirecte)
Pr�sident du SEDELAN
Monique Trudel pour le
Projet R�gional d'�ducation � l'Environnement (PREE), Afrique de l'Ouest
Robert Litzler, membre de l'ex�cutif de Plan�t'ERE
AQPERE, Canada

Organismes collaborateurs pour ce num�ro :

AQPERE, Canada
Carrefour Tiers Monde - Togo
�cole et Nature en France
R�seau ID�e, Belgique

Copyright : PLAN�T’ERE f�vrier 2006

R�alisation et correction
Robert Litzler de Plan�t’ERE
Brigitte Blais
de
Communications Terre-�-Terre
ET Laeticia Hespel de l'AQPERE (Qu�bec)

Webmestre et envoi courriel
Brigitte Blais de
Communications Terre-�-Terre

Plan�t’ERE
a/s Association qu�b�coise pour
La promotion de l’�ducation
relative � l’environnement
(AQPERE)
Coll�ge de Rosemont
6400, 16e Avenue Montr�al,
H1X 259 Qu�bec
Canada
T�l�phone : 514-376-1065
T�l�copieur : 514-376-1905
E-mail : [email protected]

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Consignes de r�daction
Envoyez-nous vos articles et capsules ici, avant le 7 juin 2007
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