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Volume 4, no.3, Printemps 2010 |
Sommaire |
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Que de collaborations pour le bulletin Plan�t’ERE.net de ce printemps! |
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Auteur: Robert Litzler
Tr�sorier de l'O.I. Plan�t'ERE
Pr�sident de l'AQPERE
Canada
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Le comit� de r�daction du bulletin Plan�t’ERE.net est particuli�rement heureux des nombreuses collaborations obtenues pour la publication de l’avant-dernier bulletin Plan�t’ERE.net qui nous s�pare du forum Plan�t’ERE 4 au Cameroun (19 au 27 juillet).
Comme on devait s’y attendre, le Comit� National de Pilotage qui pr�pare le forum Plan�t’ERE 4 au Cameroun a mis les bouch�es doubles pour nous pr�senter dans ce bulletin le site web du forum. Merci � Okey Attiwi du Togo, pour la conception de la belle banni�re du site, � Beny Bertin, le webmester pour la structure g�n�rale du site, � ceux qui ont con�u les textes des diff�rentes rubriques et � l’�quipe de correcteurs du Qu�bec, Th�r�se Baribeau, Brigitte Blais, Pauline C�t�, Jacqueline Romano-Toramanian.
En dehors des collaborations du Canada, il faut aussi saluer celles de l’Alg�rie, du Burkina Faso, du Burundi. de la C�te d’Ivoire, de la Guin�e, d’Ha�ti, du Mali, de la R�publique Centreafricaine, du Rwanda et du S�n�gal qui font de ce bulletin un num�ro particuli�rement riche et diversifi�.
Ce qui me fait dire que Plan�t’ERE.net est vraiment devenu l’outil de communication que l’Organisation internationale (O.I.) Plan�t’ERE voulait se donner le 12 avril 2006, lorsque le conseil d’administration a d�cid� de le cr�er. Une pens�e donc � tous ceux qui y ont cru et ont fait du bulletin ce qu’il est aujourd’hui.
Le comit� de r�daction
Brigitte Blais
Robert Litzler
Jacqueline Romano-Toramanian
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L'Assembl�e g�n�rale de l'Organisation internationale Plan�t'ERE |
Auteur: Robert Litzler
Tr�sorier de l'O.I. Plan�t'ERE
Pr�sident de l'AQPERE
Canada |
Selon les statuts et r�glements de l’O.I. Plan�t’ERE, l’Assembl�e g�n�rale (A.G.) doit se tenir dans le cadre du forum Plan�t’ERE. Elle aura lieu au Palais des Congr�s de Yaound� dans la soir�e du 26 juillet 2010. Le Conseil d'administration (C.A.) actuel sera alors dissout et des �lections g�n�rales d�signeront les membres qui feront partie du nouveau C.A.. Ceux-ci seront en fonction jusqu’au forum Plan�t’ERE 5 en 2014.
Il appartient � l’ex�cutif actuel de pr�parer l’ordre du jour de l’Assembl�e et les documents aff�rents. C’est ce qui sera fait dans les prochaines semaines avec la collaboration des autres membres du C.A. de l’O.I. Plan�t’ERE. Une rencontre pr�paratoire � l’A.G. aura lieu le 18 juillet, la veille de l’ouverture officielle du forum Plan�t’ERE 4 et un avis de convocation leur parviendra prochainement. |
�chos des Commissions |
Auteur: Robert Litzler
Tr�sorier de l'O.I. Plan�t'ERE
Pr�sident de l'AQPERE
Canada |
Le 27 juillet 2005, le nouveau C.A. a cr�� cinq commissions, pr�sid�es chacune par un pr�sident de commission. Dans les mois qui viennent, l’ex�cutif de Plan�t’ERE fera le point sur le fonctionnement de chacune d’elles et leur contribution � l’O.I. Plan�t’ERE.
La Commission Jeunesse
Pr�sid�e par Drissa Compaore du Burkina Faso, la Commission Jeunesse vient d’avoir le renfort de Christian Komz� qui a particip�, avec Environnement Jeunesse du Qu�bec, au 5e Congr�s mondial d’�ducation relative � l’environnement de Montr�al et de Sophia Kameni, secr�taire du Forum Jeunesse de Longueuil, en banlieue de Montr�al. Ils sont en lien avec la Vice-pr�sidente de la Commission jeunesse du Comit� national de pilotage, pour pr�parer l’Assembl�e g�n�rale de l’Aile jeunesse de l’O.I. Plan�t’ERE, programm�e pour le lundi 26 juillet en apr�s-midi. Boris Degan du B�nin et Adam Abakar Kayaye font partie de cette m�me Commission.
La Commission Recherche
C’est Latifa Remki qui pr�side la Commission Recherche. Mamadou Bhoye Bah de la Guin�e, secr�taire g�n�ral de l’O.I. Plan�t’ERE et Nambiema Abdoulaye du Togo en font partie �galement. Mamadou qui poursuit ses �tudes de doctorat � la chaire de Recherche en ERE du Canada � l’universit� du Qu�bec � Montr�al travaillera avec �tienne Vansteenberghe qui a cr�� le R�seau CEFERE des chercheurs de la francophonie en ERE. Ce r�seau se renforcera des chercheurs qui ont particip� au 5e Congr�s mondial d’�ducation relative � l’environnement. Une pr�sentation de cette commission sera � l’ordre du jour de l’A.G..
La Commission Statuts
C’est � la Commission Statuts que revient le mandat de pr�senter les modifications aux r�glements de l’O.I. Plan�t’ERE. L’ex�cutif travaillera avec elle pour proposer les changements souhait�s qui seront pr�sent�s � l’A.G..
La Commission Partenariat
Le projet R�seau des �coles Plan�t’ERE, lanc� par l’ex�cutif de l’O.I. Plan�t’ERE � l’automne 2009, commence � se d�velopper. Le carrefour de la coop�ration du forum Plan�t’ERE sera appropri� pour lui donner de l’ampleur, surtout si l’octroi d’ordinateurs aux �coles des pays en d�veloppement peut se mat�rialiser, comme le partenariat de l’O.I. Plan�t’ERE avec l’ONG Micro-Recyc-Coop�ration, conclu il y a un mois, se concr�tise. Les d�marches sont en cours. |
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Forum Plan�t'ere 4 cameroun
19 au 27 juillet 2010 |
Le site officiel du Forum Plan�t'ERE 4 est en ligne |
Cameroun
Nous l'attendions avec impatience et la voil� ! Le site Web du Forum Plan�t'ERE 4 qui se d�roulera au Cameroun cet �t� contient toutes les informations n�cessaires � votre participation. Vous y trouverez :
- Les objectifs du forum;
- L'Appel � communication;
- La programmation;
- Les th�matiques r�gionales et la description des r�gions;
- Les modalit�s d'inscription, incluant le formulaire en ligne;
- Des informations sur l'Aile jeunesse (� venir);
- Des informations pratiques (� venir).
- etc.....
Nous avons maintenant besoin de chacun de vous pour passer le mot. Envoyez le lien � votre r�seau en invitant les �ducateurs � l'environnement de votre pays � s'y inscrire. Les Camerounais sont impatients de recevoir la communaut� des �ducateurs � l'environnement de la francophonie en leur demeure.
Site Web : www.Forum-Planetere4.org/ |
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C'est � la nation ha�tienne � se reprendre en main |
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Auteur :
Augustin Dieuseul jo�l
Pr�sident de Terre des jeunes Gona�ves-Ha�ti
[email protected] |
Ha�ti
Mars 2010
Pendant les trois si�cles pass�s, quatre tremblements de terre ont frapp� Ha�ti. Ils �taient passablement comparables en intensit�, y compris ceux de 1751 et 1770 qui ont d�truit Port-au-Prince. L'exp�rience de cette capitale r�v�le un besoin d'une meilleure compr�hension de la nature et de la mesure des tremblements de terre, et le danger d'un tsunami dans la r�gion des Cara�bes.
Suite � ce cataclysme majeur au pays, Haiti est devenu la sc�ne de toutes les confusions et l'objet de d�chirures entre les groupes religieux, politiques, scientifiques, voire m�me les organisations Internationales.
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La Journ�e mondiale de l'environnement 2010 sera c�l�br�e au Rwanda le 5 juin |
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Auteur :
Runyota Jean Bosco
Coordonnateur de Planet’ERE au Rwanda: [email protected]
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Rwanda
La journ�e mondiale de l'environnement 2010 (WED), organis�e chaque ann�e par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE), vise � devenir le plus grand �v�nement mondial d'action positive pour l'environnement. Le th�me de cette ann�e, � Des Millions d'Esp�ces - Une plan�te - Un Avenir commun �, souligne l'importance, pour l'homme, de la richesse des esp�ces et des �cosyst�mes de la Terre. Le PNUE a choisi le Rwanda comme h�te pour sa richesse environnementale, qui comprend des esp�ces rares et �conomiquement importantes telles que le gorille des montagnes.
Alors que le Rwanda est confront� � de nombreux d�fis allant de la lutte contre la pauvret�, au d�veloppement de ressources �nerg�tiques durables et � la d�gradation des terres, ce �pays des mille collines� d�veloppe des strat�gies prospectives, dont le d�veloppement des �nergies renouvelables comme l'�nergie solaire et la production de biogaz. Le pays est d�j� internationalement reconnu pour avoir interdit l'usage et la fabrication de sacs de plastique, pour ses campagnes nationales de nettoyage et pour la mise en place d'un � couloir � de protection pour les chimpanz�s.
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La famille Sousa: 36 individus. Photos des gorilles des montagnes au Rwanda, prises par
Runyota Jean Bosco, le 10 juin 2009. |
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Les Amis de la Nature de la R�publique Centrafricaine ne ch�ment pas ! |
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Infos envoy�es par:
Patrice Ignadomavo
Les Amis de la Nature
Commune de M’Bata, sous pr�fecture de M’Ba�ki
[email protected]
R�daction : Brigitte Blais |
R�publique Centrafricaine
Les Amis de la Nature de M'Bata en R�publique Centrafricaine ne ch�ment pas ! En novembre dernier, en pleine saison s�che, ils ont intensifi� leurs activit�s de sensibilisation sur les m�faits des feux de brousse avec leur mat�riel p�dagogique, des vid�os, un m�gaphone dans les �coles, les villages et les quartiers, pour �viter que des cas malheureux ne surgissent.
Puis ils ont responsabilis� les membres des comit�s locaux afin de p�renniser les activit�s des Amis de la Nature au niveau de leurs zones respectives durant l'absence des dirigeants.
Ils ont �galement mont� un projet de d�veloppement bas� sur des activit�s g�n�ratrices de revenus (petits �levages, cultures..) en vue de r�duire les activit�s de destruction de l’environnement. Pour ce faire, ils ont eu l'appui de Mlle Adeline DESHAYES venue de France.
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Des projets d’�ducation environnementale isol�s � la difficile construction d’une conscience �cologique�: cas des �coliers ivoiriens |
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Auteur
M. Kabran Aristide DJANE
Doctorant � l’Institut
des Sciences Anthropologiques de D�veloppement
(ISAD)
Universit� de Cocody
Abidjan-C�te d’Ivoire
[email protected]
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C�te d’Ivoire
Aujourd’hui, l’environnement ivoirien est en piteux �tat. Et cela pour deux raisons essentielles�:
Des raisons institutionnelles
Le cadre institutionnel relatif � l’environnement et � la protection de la nature se caract�rise par la multiplicit� des intervenants, par des restructurations r�currentes et une instabilit� politique. Tous les minist�res s’occupent des questions environnementales, provoquant, � des degr�s divers, chevauchements et conflits de comp�tence et une confusion par rapport aux mandats et aux responsabilit�s. De plus, l’instabilit� institutionnelle amoindrit l’efficacit� des actions et emp�che le suivi efficace des programmes tel que le Plan National de l’action environnementale (PNAE) adopt� en 1996.
Des raisons humaines
En C�te d’Ivoire, la pauvret� (48,98 % de la population ivoirienne!) et la d�gradation de l’environnement sont une spirale auto – entretenue. Sous l’impitoyable logique des imp�ratifs du court terme, les pauvres surexploitent ce qui forme l’assise de leurs ressources, sacrifiant ainsi le futur au sauvetage du pr�sent. Le d�clin �cologique, en retour, perp�tue la pauvret� car les �cosyst�mes d�grad�s ne donnent plus aux pauvres des ressources suffisantes pour couvrir leurs besoins. Dans ce contexte, les perspectives environnementales de la C�te d’Ivoire demeurent tr�s inqui�tantes.
Naissance des projets pilote
Conscient de ce fait, le Minist�re de l’Education Nationale a mis en place d�s 2001, un vaste programme sur l’environnement � l’�cole. Ce programme comporte le projet EREAH-BV (�ducation Relative � l’Eau, � l’Am�nagement et � l’Hygi�ne Bas�e sur les Valeurs) d�marr� depuis 2001 et le projet ��salubrité » depuis 2006....
Lire le texte en entier, de 5 pages, en t�l�chargeant le pdf, ICI . |
Une exp�rience de communication participative de gestion des ressources naturelles |
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Table ronde sur la gestion des feux de brousse � la radio locale
Auteur :
Marcel SOW
Chercheur en ERE (Universit� de Conakry)
[email protected] |
Guin�e
Cas de la radio communautaire de Koundara
La radio rurale locale de Koundara est situ�e au nord de la Guin�e � proximit� de la fronti�re avec le S�n�gal. Contrairement aux autres stations de radios communautaires, elle se veut un m�dium � vocation environnementale. En raison d’une probl�matique particuli�rement pr�occupante, caract�ris�e par une d�gradation des ressources naturelles (coupe abusive du bois, d�frichement des t�tes de source, braconnage des animaux) dans cette zone sah�lienne, cette station a initi� un programme de sensibilisation des populations riveraines.
Aujourd’hui, gr�ce � l’intervention de la radio, l’impact n�gatif de la pression humaine sur les ressources naturelles dans la zone a beaucoup diminu�. Les pluies deviennent de plus en plus r�guli�res et abondantes dans la r�gion. La campagne agricole commence un peu plus t�t. L’exportation frauduleuse du bois est syst�matiquement �limin�e gr�ce � la vigilance des comit�s de surveillance.
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OXYJEUNES�: les enfants � l’avant-garde du combat pour l’environnement�! |
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Auteure:
Mme KE�TA Aminata MA�GA
Pr�sidente de l’ONG AGIR
[email protected] |
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Une interview – Oxyjeunes � Barb� |
Mali
Dans le cadre de ses activit�s d’�ducation environnementale, l’ONG AGIR pour l’environnement et la qualit� de la vie en partenariat avec l’UNICEF et ses partenaires a particip� � l’organisation du projet �OXYJEUNES� un projet pour la d�fense des droits des enfants et la promotion de leur participation � la promotion d’un meilleur cadre de vie.
��L'�ducation � l'hygi�ne, � l'environnement et � la participation des enfants�� �tait le th�me retenu pour la 5e �dition d’OXJEUNES qui s’est tenue du 25 au 28 ao�t 2009 � Mopti.
"Oxyjeunes" offre aux enfants un cadre de dialogue et d'�changes qui leur permet de mettre en exergue leur savoir-faire et leur cr�ativit�.
L’innovation dans la 5e �dition r�side dans le choix du th�me propos� et anim� par l’ONG AGIR et les autres partenaires (URTEL, l’ORTM…). Une centaine d'enfants venus de toutes les r�gions du pays et du District de Bamako y ont particip�. OXYJEUNES permet d’outiller les enfants pour la promotion de l'hygi�ne et de l’assainissement aupr�s de leurs parents et camarades. Il vise la limitation des risques de maladies li�es � l’insalubrit� et au manque d’eau potable.
''Le meilleur h�ritage que les parents nous l�guent, c'est l'�ducation. L'argent peut s'envoler et l'�ducation reste pour la vie'' disait Mlle Fatoumata SANKARE Pr�sidente du parlement des enfants du Mali. Le rendez-vous est pris pour la 6e �dition pendant les vacances scolaires 2010. |
Les femmes sont pleinement engag�es dans la protection de l’environnement |
Tchad
Le Tchad, � l’instar d’autres pays d’Afrique et du monde, a pris � bras le corps la question de la protection de l'environnement en la pla�ant en priorit� dans la politique mat�rialis�e. Pour ce faire, le Tchad a ratifi� certains instruments internationaux sur la probl�matique de l’environnement, il a pris de grandes d�cisions et mis sur pied des chantiers au niveau national allant dans le sens de la pr�servation et la protection du patrimoine naturel.
Un appel a �t� lanc� par le chef de l’�tat et le chef de Gouvernement au cours du lancement de l’initiative T�l� Environnement, � l’intention de toutes les couches socioprofessionnelles pour agir en faveur de l’environnement.
C’est dans cette optique que plusieurs initiatives qui ont trait � l’�ducation environnementale ont vu le jour au lyc�e f�minin bilingue d’Amrigu�b� de Ndjam�na, avec l’op�ration z�ro Leidah (emballage en plastique) et la cr�ation des espaces verts devant les salles de classes.
Cette initiative de l’aile jeunesse de Planet’ERE sera �largie dans les autres �tablissements de la capitale.
Aussi, nous annon�ons la cr�ation du R�seau Eau et Assainissement (REAT) par les associations de la soci�t� civile et les r�seaux des journalistes intervenant dans le domaine de l’eau et de l'assainissement.
Des efforts sont en train de se faire pour la promotion de l’�ducation environnementale.
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Mise en place du Programme r�gional d'�ducation � l'environnement |
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Auteur :
NIANG Aboubakry Sadikh
Inspecteur de l'Education
Gestionnaire de l'environnement
[email protected] |
S�n�gal
Parmi les activit�s men�es au S�n�gal, nous pouvons retenir, en plus du suivi du jumelage entre l’�cole de Fass Rufisque (S�n�gal) et celle de Joly 72 � Rivi�re-du-Loup au Qu�bec, deux moments forts v�cus le 11 f�vrier 2010 au si�ge de l’IUCN � Dakar.
C’est d’abord une rencontre des acteurs en ERE avec le Coordonnateur du Programme R�gional d’�ducation � l’Environnement (PREE), Monsieur Fr�d�ric Airnaud bas� au Cap Vert. Il s’agit d’une initiative du Coordonnateur national de Plan�t’ERE Monsieur Oumar Sy pour susciter davantage un ancrage institutionnel et communautaire du programme au niveau du pays. Ce programme accompagne le PRCM dans son volet d'�ducation en vue d’une meilleure appropriation de l’environnement marin et c�tier dans les sept pays que sont la Gambie, la Mauritanie, la Guin�e, la Guin�e Bissau, le Cap Vert, la Sierra L�one et le S�n�gal. En outre, au-del� du partage des objectifs du programme, il a y eu des r�flexions sur les possibilit�s de mutualiser les exp�riences � travers l’organisation d’un atelier national au cours de l'ann�e 2010.
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Une journ�e au Parc national de Chr�a
L� o� la neige couvre les c�dres en Alg�rie |
Alg�rie
Quelle joie ce fut de pr�parer son petit sac pour �tre � l’heure au rendez vous en ce samedi 13 f�vrier�2010 !
Les animateurs, en formation depuis jeudi, accueillaient les enfants et les parents d�s 8h et c’est dans la bonne humeur que s'�tait d�roul�e la mont�e dans les deux bus. Car nous �tions nombreux�: 29 enfants et 15 animateurs en formation. Nous avons eu beaucoup de chance pour la route, car le chasse-neige �tait pass� devant nous, alors que la veille nous aurions d� faire demi tour tellement il avait neig� !
D�s notre arriv�e, nous avons �t� accueillis et guid�s par un forestier. �merveill�s par la beaut� des c�dres habill�s de blanc, nous avons march� dans la neige jusqu’� la maison foresti�re en cours d’am�nagement. L�, nous avons eu plusieurs explications sur le Parc national de Chr�a sur l’importance des c�dres de l’Atlas, sur la faune et la flore. Chaque jeune a pu poser ses questions et a re�u une brochure illustr�e sur le Parc. Mais surtout nous avons pris un nouveau rendez vous pour la f�te de l’arbre, � partager avec d’autres jeunes!
Nous sommes all�s ensuite vers le chalet dioc�sain, mis � notre disposition par D. : une belle marche dans un chemin tranquille loin de la foule. Quelle joie de se retrouver au chaud autour d’un feu de chemin�e et de pouvoir tranquillement prendre notre repas froid�! Mais aussi quel plaisir de r�aliser de tr�s beaux bonhommes de neige, tous diff�rents, et de se lancer des boules de neige!
� cause de la neige et de la foule importante sur la route, nous avons quitt� Chr�a avec regret. Mais nous reviendrons avec plaisir. Merci � tous ceux qui ont permis ce voyage : celui qui a sponsoris� ce voyage, limitant ainsi la participation des familles et les universitaires qui nous ont aid�s � prendre contact avec les forestiers si accueillants et disponibles. Merci � la maison dioc�saine qui nous accueille si fid�lement. Merci aussi � tous les intervenants ext�rieurs ayant particip� � notre formation, rendant ainsi la journ�e de Chr�a plus belle encore.
Amiti� sans Fronti�res |
Observer pour mieux communiquer |
Burkina Faso
Le Secr�tariat Permanent du Conseil National pour l’Environnement et le D�veloppement Durable (SP/CONEDD) est une structure de mission du minist�re de l’environnement qui a en charge la gouvernance de l’�ducation relative � l’environnement au Burkina Faso. Il travaille avec les minist�res des enseignements � une approche globale de la protection et de la restauration de l’environnement afin de cr�er un climat propice au changement de comportements.
Dans cette optique, une recherche-action fut men�e pour d�couvrir les m�thodes, strat�gies et instruments p�dagogiques utilis�s en �ducation environnementale. Ceci dans le but de mettre en œuvre la strat�gie nationale adopt�e en juin 2001 et mettre en application le plan d’action national d’�ducation environnementale pour le d�veloppement durable (janvier 2004). Cela favorisera la compr�hension, la promotion et l’engagement en mati�re de protection et de gestion durable des ressources naturelles dans nos communaut�s. C'est gr�ce � la communication, l’information, la sensibilisation et l’�ducation des populations que nous pourrons transmettre notre message sur la n�cessit� du d�veloppement durable. L’originalit� de notre approche vient d’une r�flexion bas�e sur l’observation de terrain.
Le r�le principal du SP/CONEDD serait de faire de l’environnement l’objet d'un d�bat public, car les probl�mes li�s � l’environnement ne sont pas de nature ponctuelle. Ils s’inscrivent souvent dans un cadre social, culturel, �conomique et historique plus vaste. Une approche impliquant la participation des communaut�s permet de reconna�tre le caract�re unique de chaque collectivit�, dont la sant� repose entre autres sur son milieu de vie.
Afin d’atteindre les r�sultats escompt�s, des sessions de formation sur les jardins polyvalents et l'�ducation environnementale ont �t� organis�es au profit des 250 enseignants, 30 encadreurs p�dagogiques et 15 responsables de la soci�t� civile des communes rurales de Gourcy et de D�dougou. Ont �galement pris part � ces formations les repr�sentants des mairies et des directions provinciales. |
Une meilleure prise en compte des dimensions sociales dans l’ERE et l’EDD
� l’Institut Robert Schuman d’Eupen, Belgique |
Belgique
Le 25 f�vrier dernier, notre �tablissement a �t� recertifi� ISO 14001 pour la 3e fois. Sans vouloir revenir sur toute cette histoire, longue d�j� de plus d’un si�cle, il me faut rappeler que c’est dans une p�riode de forte mobilisation interne dans l’�tablissement que s’est manifest� le besoin d’adopter un cadre de travail bien structur� qui oblige toute �cole � devenir la plus coh�rente possible avec le contenu �ducatif des projets men�s par les enseignants.
Maintenant que c’est chose faite, c’est la direction, l’administration et la gestion de l’�cole qui, tout naturellement, font �voluer l’�cole vers le d�veloppement durable�: la politique d’achats et d’investissements, la restauration scolaire et le soutien aux projets int�grent dor�navant des crit�res aussi divers que�: l'�conomie des ressources, l'attention aux conditions sociales de productions, la r�duction de l’empreinte �cologique,…etc .Tout cela fait partie du projet d’�tablissement.
Depuis 3 ans, nous int�grons � ce mouvement les probl�mes socio-�ducatifs pos�s par une population de plus en plus fragilis�e, parfois en d�crochage social dans un contexte de soci�t� en proie � des crises multiples.
L’�cole a identifi� 3 domaines de travail prioritaires�: la question des genres, les processus participatifs adultes et jeunes et les rapports entre jeunes et adultes dans l’espace scolaire.
Lire la suite en page 2.
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Le Lac Tanganyika m�rite un entretien permanent |
Burundi
Le Gouvernement du Burundi, les ONG locales et internationales ainsi que les organisations de la soci�t� civile m�nent plusieurs activit�s visant la protection et l’�ducation relative � l’environnement. Parmi celles-l�, l’une qui a retenu mon attention et que je voudrais partager avec nous, est la campagne de sensibilisation sur la n�cessit� de prot�ger la ressource eau et les diff�rents �cosyst�mes existant dans des zones humides et autour du lac TANGANYIKA, incluant les rivi�res qui affluent dans ce dernier. Cette activit� fut r�alis�e � la fin de l’ann�e derni�re et a �t� conduite conjointement par la section des Volontaires des Nations Unies du Bureau Int�gr� des Nations Unies au Burundi (BINUB), le Forum Burundais de la Soci�t� civile du Bassin du Nil (FCBN), les Guides et les Scouts du Burundi.
Cette campagne de sensibilisation s’adressait principalement � la jeunesse burundaise regroup�e au sein des organisations de la soci�t� civile, et celle d�sœuvr�e qui se trouve souvent autour du Lac � cause de son oisivet�. L’objectif principal �tant d’�duquer les jeunes, afin qu’ils puissent prendre conscience de la n�cessit� de prot�ger le Lac Tanganyika (le plus poissoneux du monde) en veuillant � la propret� de cette richesse �norme, autant pour les hommes que pour les milliers d’esp�ces qui y vivent.
Apr�s des travaux de nettoyage des rives du lacs, consistant � couper les mauvaises herbes, � enlever la jacinthe d’eau, et � ramasser les salet�s, qui pour la plupart �taient des objets en plastics, qui polluent l’eau, une s�ance d’explications sur la protection de la ressource eau a suivi.
Le FCBN a expliqu� par l’interm�diaire d’une production radiophonique faite sur la protection de l’eau, la n�cessit� de prot�ger l’eau, les diff�rentes techniques pour assurer sa protection et comment �viter la perte de l’eau des zones humides et de la nappe phr�atique. La protection de la ressource eau consistant en la protection de notre vie actuelle et de celle des g�n�rations futures, les jeunes participants � la s�ance et leurs encadreurs ont �t� tr�s attentifs et ont pris l’engagement de dupliquer le message au sein de la population, surtout de la jeunesse, en g�n�ral, et au sein de leurs organisations, en particulier.
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Monsieur Philippe MASABO, un employ� du FCBN entrain d’animer une s�ance d’�ducation relative �
l’environnement au bord du�lac Tanganyika, apr�s des travaux de lutte contre l'insalubrit�. |
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Devenir travailleure humanitaire chez soi. Une exp�rience pilote efficace ! |
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Auteure : Brigitte Blais
Agente de liaison au Qu�bec pour Terre des jeunes Gona�ves (Ha�ti)
[email protected] |
Canada / Ha�ti
Une histoire incroyable est arriv�e dans ma vie depuis le 12 janvier 2010. La veille du tremblement de terre en Ha�ti, Jo�l Augustin Dieuseul, pr�sident de Terre des jeunes Gona�ves, soupait chez moi. Il �tait venu, en touriste, voir la neige.
La catastrophe qui se produisait le lendemain allait bousculer bien des vies, dont la mienne, puisqu'� partir de ce jour, je suis devenue, graduellement, agente de liaison au Qu�bec pour Terre des jeunes Gona�ves (Ha�ti).
Quelque chose me disait que le s�jour forc� de Jo�l au Qu�bec devait devenir utile. L'heure �tait venue pour moi de le mettre en contact avec des individus et entrepreneurs d'ici qui pourraient l'aider � reb�tir son pays, sans le faire � sa place.
Nous avons visit� une dizaine d'entreprises ... Lire la suite en page 2. |
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Cinq Qu�b�cois en Belgique ! |
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Marie-Pierre Clavette
et F�lix Par�
Auteure : Marie-Pierre Clavette
[email protected] |
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Canada / Belgique
Cinq Qu�b�cois (Canadiens), dont Marie-Pierre Clavette et F�lix Par� de Baie-Comeau, s’envoleront pour la Belgique le 20 mars dans le cadre d’une mission professionnelle en �ducation relative � l’environnement, organis�e et financ�e par l’Office Qu�bec Wallonie Bruxelles pour la jeunesse.
Ils rencontreront divers intervenants gouvernementaux, organismes, �coles et institutions afin de s’inspirer des meilleures pratiques belges en �ducation relative � l’environnement et tisser de futurs partenariats.
L’Office Qu�bec Wallonie Bruxelles pour la jeunesse (OQWBJ) offre divers programmes con�us pour r�pondre aux besoins des jeunes adultes qu�b�cois �g�s de 18 � 35 ans d�sirant �largir leurs horizons professionnels et personnels par la r�alisation d’un s�jour en Wallonie ou � Bruxelles. |
Vous connaissez le programme Arbres-�volution ? |
Canada et international
ARBRE-�VOLUTION se veut un vaste projet de d�veloppement durable qui prend racine dans un r�seau �tendu de partenaires sensibles � la cause de la for�t et � l'am�nagement du territoire. Ensemble, les partenaires forment une �quipe dynamique et engag�e, � l'�chelle globale. Le champ d'action du groupe se situe autant dans la pr�servation que dans l'innovation, la plantation d'arbres, la sensibilisation � la for�t et la transmission de connaissances et de savoirs-faire.
Il est possible en tout temps de suivre la progression du programme sur les cartes satellites Google et les galeries photos. On peut �galement lancer des discussions de groupe sur Internet et participer aux diff�rents projets. Les partenaires inscrits au programme seront aussi convi�s � participer aux diff�rentes activit�s de plantation et de sensibilisation mises de l'avant.
Vous �tes toutes et tous invit�s � suivre la progression des projets et � partager vos opinions et commentaires sous les liens suivants:
Informations :
PROJETS ARBRE-�VOLUTION
FORUM DE DISCUSSION ARBRE-�VOLUTION
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Qui est � L’�ducation au service de la Terre�� ? |
Canada
Fond�e en 1991, L’�ducation au service de la Terre (LST) est une organisation canadienne � but non lucratif qui a �t� cr��e dans le but d'int�grer l’�ducation au d�veloppement durable dans le syst�me d’�ducation du Canada en collaboration avec les enseignants, les �l�ves, les parents, le gouvernement et la communaut�. La mission de LST consiste � promouvoir les connaissances, les comp�tences, les perspectives et les pratiques essentielles � un avenir durable, au moyen
de l'�ducation.
Quels sont les programmes de LST�? � lire en page 2. |
Les r�fugi�s du climat - Exposition photos |
Canada
Une voix pour les victimes anonymes de la d�gradation environnementale
Les �cor�fugi�s
Les r�fugi�s du climat sont les victimes anonymes de la plus grave crise humanitaire � laquelle le monde devra faire face au cours de ce si�cle. Ils sont entre 30 et 40 millions sur la plan�te. Ils ne fuient pas la guerre, mais un environnement si d�grad� qu’il ne peut plus les supporter. Les experts d�battent la possibilit� d’accorder un statut sp�cial � ces migrants. Certains gouvernements commencent � les reconna�tre, mais les voient souvent comme une menace � leur s�curit� nationale. Dans les camps, la plupart de ces personnes ne savent m�me pas qu’ils sont des r�fugi�s environnementaux; tout ce qu’ils savent, c’est que pour survivre, ils ont fui une terre infertile.
� travers diverses sc�nes du quotidien, le photographe d�voile la difficile r�alit� d’hommes, de femmes et d’enfants de l’Inde ayant �t� forc�s de quitter leur lieu d’origine pour �chapper � la d�gradation environnementale. D’�mouvantes œuvres en noir et blanc qui mettent � l’honneur l’�tre humain, dans toute sa complexit�, sa force, sa grandeur, mais �galement dans sa fragilit�, son incertitude et sa r�silience.
Fran�ois Pesant
Le photojournaliste Fran�ois Pesant collabore avec les quotidiens montr�alais Le Devoir et Journal M�tro ainsi qu’avec divers magazines, dont L’actualit�. Dipl�m� en sociologie de l’Universit� Concordia, il d�crit sa d�marche comme �tant socio-artistique. Il privil�gie des projets qui demandent un investissement de longue haleine, une recherche approfondie ainsi que l’�tablissement d’une relation de confiance entre le photographe et son sujet. Il souhaite, � travers ses œuvres, engendrer de la sympathie pour ses sujets, mais �galement pour le genre humain. Profond�ment touch� par le sort des r�fugi�s environnementaux, il ressent l’urgence d’agir et a la conviction que la photographie lui permettra de sensibiliser, faire r�fl�chir et, �ventuellement, faire changer les choses.
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Symbiose : "Comment r�concilier homme et biodiversit� ?" |
Belgique
Nouveau num�ro de Symbioses, le magazine de l'�ducation � l'environnement.
Qui sera le dinosaure de demain ? Alors que les Nations Unies ont proclam� 2010 � Ann�e internationale de la biodiversit� �, la question est d'une actualit� alarmante. Nous vivons en effet la sixi�me grande extinction d'esp�ces. La pr�c�dente marquait la fin du Jurassique, il y a 65 millions d'ann�es. Au coeur de ce ph�nom�ne : l'homme qui modifie son environnement, l'exploite et influe sur la vie de millions d'autres esp�ces. Mais qui bouge aussi, pour maintenir la diversit� biologique et modifier ses comportements.
Ils sont en effet nombreux � mettre sur pied des projets dans leur association, leur �cole, leur commune, leur jardin... Pour laisser vivre la nature dans toute sa diversit�. D�couvrez-les dans ce nouveau dossier de Symbioses, enrichi, comme toujours, d'adresses utiles, d'outils p�dagogiques et de conseils pour aller plus loin.
Site web o� le commander.
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4e colloque sur l'�cod�veloppement des institutions d'enseignement du Qu�bec |
Canada
20
et 21 mai 2010 au C�gep de Sorel-Tracy
Organis� conjointement par le C�gep de Sorel-Tracy et l'Association qu�b�coise pour la promotion de l'�ducation relative � l'environnement (AQPERE), le colloque a pour th�me � Ouverture sur la communaut�...avenir de l'�ducation au Qu�bec �. Ce colloque s'adresse principalement au personnel de direction des commissions scolaires, des c�geps et des universit�s.
Plus de 40 conf�rences, un salon des exposants, une soir�e festive, tel est le programme de cet �v�nement unique au Qu�bec.
Au cours des deux jours d'activit�s, les participants auront l'occasion d'�changer, de partager leurs exp�riences et de d�couvrir des initiatives men�es dans deux volets : la gestion �cologique des maisons d'enseignement et le d�veloppement d'une culture environnementale chez le personnel enseignant ou non-enseignant et bien s�r chez les �tudiants.
Pour en savoir plus, visitez le site internet du colloque. |
Colloque " Quelle �cole voulons-nous pour demain ? " |
France |
Rencontres de l'ERE sur le th�me de l'alimentation |
Belgique
Organis�es tous les deux ans, les Rencontres de l'ErE sont l'occasion pour une centaine d'animateurs, formateurs, enseignants, �co-conseillers, … de prendre le temps, pendant trois jours, d'�changer leurs exp�riences, d'enrichir leurs pratiques et d'alimenter la r�flexion ensemble autour d'une th�matique, le tout dans un climat de convivialit�.
En 2010, les douzi�mes Rencontres auront pour th�me l'alimentation. Au menu : �changes de pratiques, r�flexions, d�bats, rencontres et visites, moments informels, afin de mieux comprendre la th�matique, mieux en conna�tre les acteurs, am�liorer le travail en r�seau, …
Quelques questions pour faire chauffer la marmite :
* Comment favoriser une alimentation durable � travers des projets collectifs qui repensent et re-cr�ent nos responsabilit�s ?
* Comment analyser et concilier des enjeux � la fois locaux et globaux, environnementaux et sociaux ?
* Comment concevoir des projets syst�miques qui incluent une compr�hension des interd�pendances de l'assiette avec le monde ?
* Comment d�velopper une alimentation saine et durable en milieu urbain ?
* Comment revisiter nos rapports au temps et � l'argent
* Comment (re)prendre le temps de cuisiner, planter, go�ter, prendre plaisir � ...
Informations suppl�mentaires sur le site Web du R�seau iD�e. |
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Diversit�, viabilit� et environnement : Exploration de la diversit� culturelle et de pratiques pour une �ducation � l’environnement |
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Le R�seau canadien d’�ducation et de communication relatives � l’environnement (EECOM) |
Canada
Conf�rence Nationale Annuelle 2010 de EECOM
Universit� Simon Fraser,Burnaby, Colombie-Britannique, Canada
19-22 mai, 2010
La pluralit� culturelle, l’abondance de pratiques et de traditions de recherches nourrissent le champ de l’�ducation environnementale. La vari�t� de ces �l�ments favorise une diversit� des savoirs et des strat�gies qu’on retrouve dans les contextes formel, informel et non formel. Les acteurs de l’�ducation environnementale supposent que, en abordant la diversit� culturelle et en portant une attention particuli�re � l’�ventail de perspectives que le monde a � offrir, tous en tireront de grands b�n�fices. En termes de contenus de programmes, de p�dagogies et de pratiques, plusieurs indices nous indiquent que pour �tre plus � l’�coute des diverses populations, les pratiques �ducatives doivent commencer � refl�ter la diversit� de notre soci�t�. Ainsi, ce que nous planifions pour la conf�rence EECOM 2010 est un foyer pour la diversit� actuelle dans le domaine de l’�ducation environnementale, tant au niveau culturel que des pratiques.
Informations sur le colloque sur le site de EECOM. |
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R�daction et production
Pr�sent�es par ordre alphab�tique,
les personnes suivantes ont collabor� au
pr�sent num�ro du bulletin Plan�t’ERE.net
Adam Abakar Kayaye, Tchad
Augustin Dieuseul Jo�l, Ha�ti
Brigitte Blais, Canada
Ibrahima Belem, Burkina Faso
Jean-Michel Lex, Belgique
Kabran Aristide DJANE, C�te d'Ivoire
KE�TA Aminata MA�GA, Mali
Lilly Briggs, Canada
Marcel SOW, Guin�e
Marie-Pierre Clavette, Canada
Nahimana Gu�rin, Burundi
NIANG Aboubakry Sadikh, S�n�gal
Patrice Ignadomavo, R�publique Centrafricaine
Robert Litzler, Canada
Runyota Jean Bosco, Rwanda
Th�r�se Gernigon, Alg�rie
Organismes collaborateurs pour ce num�ro :
AQPERE, Canada
Arbres-�volution, Canada
CERISE, Belgique
EECOM, Canada
Les r�fugi�s du climat - Fran�ois Pesant, Canada
R�seau iD�e, Belgique
Symbioses, Belgique
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Copyright : PLAN�T’ERE f�vrier 2006
R�alisation et correction
Robert Litzler de l'AQPERE et Plan�t’ERE
Brigitte Blais de
Communications Terre-�-Terre et Terre des jeunes
ET Jacqueline Romano-Toramanian (Qu�bec)
AQPERE et comit� des retrait�s Brundtland, CSQ
Webmestre
Brigitte Blais de
Communications Terre-�-Terre
Envoi courriel
Abdel Maqboul, stagiaire pour Plan�t'ERE
Plan�t’ERE
a/s Association qu�b�coise pour
La promotion de l’�ducation
relative � l’environnement
(AQPERE)
Coll�ge de Rosemont
6400, 16e Avenue Montr�al,
H1X 259 Qu�bec
Canada
T�l�phone : 514-376-1065
T�l�copieur : 514-376-1905
E-mail : [email protected] |
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