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Volume 5, no.4, �T� 2011 |
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Plan�t’ERE.net atteint le cap du 20e num�ro! |
Par Robert Litzler, Canada
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Robert Litzler
Tr�sorier
Plan�t'ERE |
M�me si ce n’est pas un anniversaire, la mise en ligne de ce 20e num�ro du bulletin m�rite d’�tre soulign�e. � cette occasion, l’�quipe de r�daction conna�t quelques changements. La nouvelle �quipe s’est efforc�e de pr�senter un contenu qui continue de parler aux membres du R�seau Plan�t’ERE. Vous y trouverez donc, � c�t� des contributions des auteurs habituels, de nouvelles capsules en provenance, entre autres, du S�n�gal, du Rwanda, du Tchad, de la Mauritanie, de la Tunisie et de la C�te d’Ivoire.
Le R�seau Id�e nous propose, ce trimestre, un dossier sur l’�ducation aux catastrophes naturelles, un sujet qui doit retenir particuli�rement notre attention en cette ann�e de ph�nom�nes m�t�orologiques extr�mes particuli�rement abondants.
Avec le 1er camp �cologique des jeunes du Cameroun, nous pouvons constater l’int�r�t marqu� des �l�ves de l’enseignement de base pour l’environnement. Cela fait honneur au Cameroun, pays africain francophone qui compte le plus grand nombre d’�coles dans le R�seau des �coles Plan�t’ERE et qui accueillera le 16e colloque du SIF�E en septembre prochain.
La tourn�e camerounaise du Pr�sident de Plan�t’ERE a donn� naissance � plusieurs partenariats int�ressants pour l'organisation. Une des retomb�e de cette tourn�e est la tenue d’un stage de vacances par l’ONG Volontariat pour l'environnement du Cameroun.
L’entente conclue avec Inspired G�n�ration pilot�e par le Consortium-�vcolution constitue �galement un partenariat qui pourrait s’av�rer prometteur dans le d�veloppement futur de Plan�t’ERE.
Ce num�ro nous donne aussi l’occasion de saluer le troph�e international remport� par�la Vo�te Nubienne, cette �coconstruction, chef d’œuvre de mode d’h�bergement �particuli�rement adapt� aux pays africains. �
Enfin, Plan�t’ERE.net de l’�t� 2011 nous plonge dans les pr�paratifs du Sommet de la jeunesse africaine qui aura lieu en 2012 en Mauritanie.
� tous les lecteurs du bulletin Plan�t’ERE.net, nous souhaitons un bel �t� 2011.
Robert Litzler
Au nom du comit� de r�daction
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Du nouveau dans le comit� de r�daction du bulletin Plan�t’ERE.net |
Brigitte Blais, r�dactrice en chef du bulletin Plan�t’ERE.net a annonc� son d�part apr�s avoir brillamment assum� ce r�le depuis la sortie du bulletin du 21 d�cembre 2006. Tous les membres du comit� de r�daction la remercient chaleureusement pour la grande qualit� qu’elle a su apporter � ce lien de communication qui rejoint quatre fois par ann�e les membres du R�seau Plan�t’ERE.
Nous remercions �galement Judith Jacques qui a second� Brigitte pour les derniers num�ros du bulletin. Plan�t’ERE.net portera d�sormais la signature d’Emmanuel Rondia, r�alisateur tr�s appr�ci� du bulletin Int’ERE.net de l’AQPERE, Emmanuel a accept� de relever le d�fi. Il sera aid� de Robert Litzler pour la sollicitation de nouvelles aupr�s des membres du R�seau Plan�t’ERE, de Pauline C�t� et de Jacqueline Romano-Toramanian qui continueront de mettre leurs talents de r�vision linguistique au service de la correction des textes et d’Abdelaziz Maqboul qui sera responsable de l’envoi du bulletin et de la mise � jour du site Internet de Plan�t’ERE.
Un nouveau venu, M�dard Kouatchou, s’est joint � l’�quipe pour cette 20e �dition de la publication. Nous l’accueillons avec plaisir. Il a �galement �t� convenu que tous les membres du comit� seront � l'affut pour d�tecter des nouvelles concernant l’�ducation � l’environnement et au d�veloppement durable qui auraient leur place dans le bulletin.
Le comit� de r�daction du Bulletin Plan�t’ERE.net |
Nouvelles de la tourn�e camerounaise du Pr�sident de l’OI Plan�t’ERE
durant les trois derniers mois
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Par Dieudonn� Xavier Ateba, Cameroun
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Dieudonn� Xavier Ateba
Pr�sident
Plan�t'ERE |
La pr�sence du Pr�sident de l’ONG internationale Plan�t’ERE au Cameroun ces trois derniers mois a permis de la faire conna�tre et de recueillir les attentes des diff�rents groupes d’acteurs � des �chelons diff�rents. En dehors des �changes permanents entre le pr�sident du Plan�t’ERE International (M. Dieudonn� Xavier Ateba) et celui qui a �t� d�sign� pr�sident du Plan�t’ERE-Cameroun (M. Th�ophile Olomo), une premi�re rencontre a eu lieu au d�but du mois de mars avec le comit� directeur national. C’est au terme de cette rencontre qu’a �t� �labor� un calendrier des visites de terrain.
Le 25 mars, nos deux pr�sidents ont rencontr� l’Ambassadeur de France au Cameroun. Aux termes des �changes, ce dernier nous a assur�s de toute sa disponibilit� pour apporter son soutien � l’�panouissement de Plan�t’ERE en particulier sur le plan de la coop�ration internationale. Les actions de formation au niveau universitaire et de la formation professionnelle restent pour lui pr�occupantes au niveau national. Malgr� les moyens limit�s, il a recommand� des n�gociations avec le service de la coop�ration et d’action culturelle en vue d’envisager des actions concr�tes.
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Le club environnement et le personnel du Lyc�e d'Endom en compagnie du Pr�sident de Plan�t'ERE |
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Plan�t’ERE conclut une entente de partenariat avec le Consortium �volution |
�tant donn�e la vocation internationale de Planet’ERE, la direction g�n�rale du Consortium �volution a r�cemment manifest� le d�sir d’�tablir les bases d’un partenariat avec l'ONG dans le cadre de son programme international ��Inspired Generations��.
Une des lacunes de ce programme est qu’il repose sur la dynamisation d’une structure r�gionale existante qui n’est pas pr�sente partout � travers le monde. En effet, les Centres d’expertise r�gionaux (CER) mis en place par l’Universit� des Nations Unies (UNU), sont implant�s dans 86 r�gions � travers le monde et l’Afrique repr�sente un continent o� il n’y a que tr�s peu de CER. L’ONG Plan�t’ERE, �tant pr�sente dans beaucoup de pays africains, constitue pour le Consortium-�volution une opportunit� de rejoindre ces populations dans le cadre du programme ��Inspired Generations��.
La proposition de partenariat avec le Consortium-�volution a �t� pr�sent�e aux membres de l’ex�cutif de Plan�t’ERE qui, apr�s en avoir pris connaissance, ont estim� que ce partenariat donnerait aux comit�s Plan�t’ERE nationaux une excellente occasion de se d�velopper. Le pr�sident de Plan�t’ERE, Dieudonn� Xavier Ateba, a donc fait parvenir � St�phane Racine, directeur du Consortium-�volution, une lettre d’entente de partenariat.
Dans les prochaines semaines, une strat�gie de fonctionnement de ce partenariat sera �labor�e, en prenant le Cameroun comme pays pilote pour la mise en place de projets concrets. C’est en effet dans ce pays que les avanc�es du comit� Plan�t'ERE national sont les plus abouties et que des contacts avec les universit�s ont d�j� �t� �tablis dans le cadre du forum Plan�t’ERE 4.
Pour prendre connaissance du programme ��Inspired Generations��, consultez le fichier ci-joint.
Pour en savoir plus
Site Internet du Consortium �volution
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Un premier camp �cologique des jeunes du R�seau des �coles Plan�t’ERE-Cameroun |
Par Marc Richepin Mandeng, Cameroun
Du 30 mars au 2 avril 2011, Marc Richepin Mandeng, coordonnateur du REP-Cameroun et pr�sident de l’Association pour la solidarit� des forestiers et environnementalistes (ASFE) a r�uni dans la commune de Mbalmayo � 50 km de la capitale Yaound�, 150 jeunes de huit �coles primaires et secondaires du Cameroun sur le th�me�:
��Jeunes, agissons en faveur du d�veloppement par la promotion de l’ERE dans nos diff�rents milieux de vie imm�diats et particuli�rement dans nos �coles.��
Ce premier CEJ du REP-Cameroun avait pour objectif de permettre aux jeunes de diff�rentes �coles d’�changer entre eux et de faire la connaissance du CIFOR (Centre international de recherche sur les for�ts) et de l’AMADUR, une ONG vou�e � la probl�matique de l’eau, tous les deux invit�s comme organismes formateurs pour enrichir les jeunes de connaissances et de savoir-faire pour les pr�parer � devenir de meilleurs �cocitoyens.
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Bilan positif de la c�r�monie de bapt�me des b�b�s gorilles (Kwita izina) 2010 |
Par Jean Bosco Runyota, Rwanda
La promotion du droit des animaux qui g�n�re de l'�nergie solaire pour les �coliers du village Rubaya et 85 000 $ pour la protection des gorilles
La c�r�monie de bapt�me des b�b�s gorilles (Kwita izina) est un �v�nement unique qui a lieu au Rwanda chaque ann�e pour baptiser les b�b�s gorilles n�s dans le Parc national des volcans dans l’ann�e. Cette c�r�monie a �t� introduite en 2005, dans un but d’�ducation � l’environnement pour sensibiliser le public � la conservation des gorilles de montagne menac�s d’extinction. Pour la premi�re fois, la communaut� mondiale a particip� � l'�v�nement, avec plus de 800 personnes qui ont vot� en ligne pour un nom de gorille dans la cat�gorie ��People's Choice��.
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Les personnes jouent le r�le de b�b�s gorilles
demandant le droit d’avoir un nom
(Cr�dit : RBD) |
Cette c�l�bration a �t� vibrante avec la pr�sence d’une star d'Hollywood, d’�cologistes, d’entreprises et d’au moins 30 000 personnes. Au cours de cette c�r�monie traditionnelle de bapt�me de b�b�s gorilles ��Kwita Izina��, tr�s attendue, les choix populaires de cette ann�e Zoya et Waka Waka, qui ont� �t� d�sign�s en ligne par plus de 800 personnes du monde entier, ont �t� annonc�s par l'acteur nomin� aux Oscars, Don Cheadle. La star hollywoodienne a assist� � la c�r�monie de bapt�me � c�t� du Directeur ex�cutif du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE).
Le Directeur ex�cutif du PNUE a d�clar�:���le Rwanda est une nation pionni�re dans la croissance �conomique verte, il y a ici un v�ritable engagement politique en faveur d’un mod�le de d�veloppement plus propre, mais en plus nous avons uni nos forces avec tout une s�rie de partenaires pour contribuer � la conservation des gorilles et fournir des lampes solaires � des centaines de villageois et d’�coliers rwandais��.
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L’�ducation relative � l’environnement au Tchad |
Par Mbaindiguim Nasson, Tchad
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Mbaindiguim Nasson
Minist�re de l’Environnement et des Ressources Halieutiques |
La Direction de l’�ducation Environnementale, faut-il le rappeler, est une structure technique du Minist�re de l'Environnement et des Ressources Halieutiques. Elle a pour principale mission de conscientiser la population sur diverses pratiques ayant des effets n�fastes sur l'Environnement. Le pari de la Division de l’�ducation Environnementale est de placer l'Homme au centre de tous les dispositifs de protection de l'Environnement � travers la communication environnementale, la sensibilisation, la formation et l’�ducation. Ce pari est � moiti� gagn� pour l'instant car l’�ducation relative � l'environnement suit son bonhomme de chemin.
En effet, l'interdiction d’utiliser des emballages en plastique par l’�tat tchadien est un succ�s. Aujourd'hui, de plus en plus de m�nages pr�f�rent se tourner vers des paniers biod�gradables. La conscience �cologique est perceptible au niveau des �tablissements scolaires. La moiti� des �tablissements scolaires de la capitale disposent d'un club �cologique. La division de l’�ducation ne cesse d'apporter l'appui technique � ces clubs. Mais tous ne tendent pas au vert.
Malheureusement, en d�pit de multiples textes et lois mis en place et des nombreuses campagnes de sensibilisation pour la protection de l'Environnement, des pratiques contraires � ces lois se perp�tuent, souvent marqu�es par des coupes abusives et inopportunes des arbres et une recrudescence du braconnage dans certaines r�gions du Pays. R�cemment la Brigade Nationale Mixte de Protection de l'Environnement a arr�t� un groupe de braconniers, ces derniers empoisonnant des �nes avec un produit chimique. Lorsque les �nes meurent, les vautours viennent manger les cadavres. Les vautours meurent � leur tour et les braconniers leur coupent la t�te pour les amener au Nigeria pour des fins qu’on ignore. Une fois de plus, l’�ducation relative � l'environnement n'est pas au vert au Tchad, car dit-on ��les habitudes ont la peau dure��.
Pour en savoir plus
Contactez
Mbaindiguim NASSON, Charg� des communications et des relations avec les m�dias
Direction de l’�ducation Environnementale et du D�veloppement durable
Minist�re de l’Environnement et des Ressources Halieutiques par courriel |
D�marrage des travaux de la commission technique pr�parant la conf�rence de la jeunesse africaine |
Par Mohamed Lemine, Mauritanie
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Mohamed Lemine
Agissons pour un d�veloppement durable
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Les travaux de la commission technique pr�parant la conf�rence de la jeunesse africaine pr�vue � Nouakchott au cours de l'ann�e 2011 ont d�but� vendredi � l'h�tel ��Wissal�� � Nouakchott.
La rencontre est organis�e par le minist�re de la culture, de la jeunesse et des sports en collaboration avec l'association des jeunes� Agissons pour un d�veloppement durable.
La rencontre vise � renforcer et � appuyer les efforts de nature � promouvoir l'�change et le dialogue entre jeunes �Africains pour concevoir une vision globale permettant aux peuples de la r�gion de relever les d�fis pr�sents et futurs.
Dans un mot prononc� pour la circonstance, M. Sidi Mohamed Ould Mohamed Taleb, directeur de la promotion de la jeunesse au minist�re de la culture, de la jeunesse et des sports a insist� sur l'importance de cette r�union technique pr�paratoire.
Il a ajout� que les objectifs de la conf�rence de la jeunesse africaine qui se tiendra � Nouakchott concr�tise l'int�r�t particulier qu'accorde le Pr�sident de la R�publique, M. Mohamed Ould Abdel Aziz pour la promotion des jeunes et leur �ducation de mani�re saine.
Le directeur a, en outre, indiqu� que cet int�r�t s'est mat�rialis� � travers la tenue en 2009 du forum national des jeunes et les �tats g�n�raux des sports en 2010 ainsi qu'� travers l'adoption, r�cemment, de la politique nationale de la jeunesse et des sports et les m�canismes de son ex�cution.
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L’ERE en Tunisie�: Le r�sultat d’une coop�ration qui porte ses fruits |
Par Tarek Nefzi, Tunisie
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Tarek Nefzi
B�casse �cologie |
Avec les pr�mices des vents de libert� et de d�mocratie qui soufflent depuis le 14 janvier 2011, sur la Tunisie, une multitude de protestations populaires environnementales relay�es en justice voient le jour. C’est le cas du centre de traitement de d�chets dangereux sans enqu�te publique, de la pollution chimique de la ville de Gabes, etc. Toutes ces actions d�voilent outre l’appel au droit � la dignit�, au travail, � la citoyennet�, celle � la protection de l’environnement et au d�veloppement durable et �quitable entre les r�gions et entre les g�n�rations. C’est un droit fondamental, dans la nouvelle constitution de la deuxi�me r�publique tunisienne�: ��l’�co-constitution tunisienne��.
Ceci n’est nul autre que le fruit tant attendu d’une �ducation relative � l’environnement qui commence � s’�panouir dans un climat favorable de libert� et de d�mocratie.
Cette ERE a commenc� depuis les ann�es 90 par un programme cadre d’ERE pour l’introduction de l’ERE dans les programmes scolaires des mati�res porteuses et la mise en place des clubs d’ERE dans les� 5 000 �tablissements scolaires. C'�tait les jalons d’une strat�gie de d�veloppement de l’ERE mise en œuvre en Tunisie avec le soutien du minist�re de l’environnement qu�b�cois, le PNUD et l’UNESCO.
Quelques ann�es plus tard…, se d�veloppe aujourd’hui en Tunisie un ��enviromobile��. C’est un bus d’ERE traitant des enjeux de l’environnement et du d�veloppement durable en Tunisie. Circulant d’une �cole � l’autre, il vient consolider les projets d’ERE r�alis�s par les� �l�ves avec l’encadrement des ONGs r�gionales de l’environnement. Ce projet se r�alise avec l’assistance de la GIZ et la coop�ration espagnole en Tunisie.
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Journ�e Mondiale de l’Environnement�: Au Cameroun, les femmes sont aussi capables de pr�server notre environnement
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Par Jeanette Benga, Cameroun
Mme BENGA une dynamique femme de la r�gion du Sud Ouest d�montre ici, � travers son groupe d’initiative commune des Volontaires Pour la cr�ation et la promotion des initiatives de d�veloppement au Cameroun (GIC-VOPID) et de ses activit�s � l’occasion de cet important �v�nement mondial, combien de fois la femme peut s’impliquer et �tre � la hauteur des grands d�fis qui marquent le monde aujourd’hui.
Cr�� en septembre 2006, le GIC – VOPID a pour population cible les femmes et les enfants. Son champ d’intervention porte sur la protection de l’environnement, l’�ducation des femmes et des enfants, la lutte contre la pauvret� et bien d’autres aspects comme l’encadrement des orphelins. Ses actions sont men�es avec l’appr�ciation des autorit�s et les partenaires locaux. Telle en est le cas du 5 juin 2011. La grande difficult� de notre groupe est de trouver des partenaires qui acceptent de nous soutenir pour les trois prochaines ann�es.
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De gauche � droite�: s�ance de campagne d’hygi�ne et salubrit�, s�ance de plantation d’arbres avec les autorit�s et session de formation des femmes au milieu |
Pour toute information compl�mentaire, contactez Jeannette Benga au (237) 333-22891 ou par courriel�:�[email protected]
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Le bois d’�cole pour mettre en œuvre l’�ducation environnementale |
Par Altine Traore, S�n�gal
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Altine Traore
Minist�re de l’Environnement et de la Protection de la nature
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La Cellule d’�ducation et de Formation Environnementales (CEFE), structure nationale du S�n�gal charg�e de mettre en œuvre la Strat�gie Nationale d’�ducation Environnementale poursuit son programme de formation. Avec le Programme Test Bois d’�cole (PTBE), l’objectif est de mieux sensibiliser le public scolaire sur les questions de l’environnement mais surtout de promouvoir chez les �l�ves, des comportements nouveaux qui soient favorables � l’environnement.
Mis en place depuis 2003 par les Minist�res de l’Environnement et de l’Education, le Programme Test Bois d’Ecole s’articule autour de trois grands volets : la formation des formateurs (inspecteurs de l’�ducation nationale, directeurs d’�cole et enseignants), lesquels vont, � leur tour, former les �l�ves�; l’appui des �coles� pour du mat�riel de p�pini�re (r�teau, pelle, brouette, tuyau d’arrosage, sceau, coupe-coupe, etc.) et enfin, la mise en place de bois d’�cole (vergers, jardins maraichers, reboisement avec des esp�ces foresti�res et ornementales) au niveau des �coles maternelles, �l�mentaires, du moyen et du secondaire par les �l�ves sous la supervision des formateurs et du service forestier.
Pour cette �ni�me formation, c’est le d�partement de Lingu�re, situ� en pleine zone sylvo-pastorale au Nord Centre du S�n�gal qui a accueilli, dans la seconde quinzaine du mois de d�cembre 2010, l’�quipe de la CEFE pour capaciter les enseignants. Toutefois, le choix de cette localit� n’est pas fortuit. En effet, cette zone subit, depuis plusieurs d�cennies, les effets de la s�cheresse persistante et une d�gradation de son environnement due en grande partie� � des facteurs anthropiques (feux de brousse) et avec, comme corollaires, la rar�faction des ressources en eau, la diminution des productions agricoles et la pr�carisation des ressources pastorales.
� travers la cible scolaire, la CEFE cherche � promouvoir des comportements nouveaux, favorables � l’environnement ainsi qu’� impulser l’engagement et la responsabilisation des populations.
Pour la centaine d’enseignants ayant pris part � cette session, quatre th�mes majeurs� ont �t� d�velopp�s �leur intention. Il s’agit des Techniques d’Int�gration de l’EE dans les curricula, les Feux de Brousse, Facteurs de perte de la biodiversit� dans la zone Nord et les Techniques de production de plants, de plantation et d’entretien des arbres.
Un contrat d’objectifs a �t� ficel� avec les enseignants pour assurer un bon suivi des actions � mener au sortir de ce s�minaire.
Pour en savoir plus
Site Internet du Minist�re de l'Environnement et de la protection de la nature du S�n�gal
Contactez Altine Traor�, coordonnatrice de la Cellule d’�ducation et de la formation environnementales, par courriel |
La vo�te nubienne remporte le troph�e de l’entreprise sociale |
Thomas Granier, co-fondateur & directeur de l'Association ��La Vo�te Nubienne�� (AVN) a re�u le 6 juin dernier � Paris, le Troph�e de l'Entreprise Sociale dans la cat�gorie ��International��.
Le quotidien ��La Tribune�� et ses partenaires ont souhait� r�compenser par ce troph�e exceptionnel des entrepreneur(e)s qui mettent en pratique des solutions �thiques et innovantes pour affronter des d�fis soci�taux que ni l’�tat, ni le march�, ni les entreprises classiques ne savent ni ne peuvent r�soudre seuls. Sur les 120 dossiers re�us, la Vo�te Nubienne �tait nomin�e en cat�gorie ��International��.
Ce prix vient couronner 10 ann�es de succ�s des �quipes de la Vo�te Nubienne qui ont pour mission de permettre, en particulier en Afrique sah�lienne, l'acc�s � une architecture de qualit�, pour le plus grand nombre de b�n�ficiaires, le plus vite possible.
� ce jour, AVN a amorc� le march� de la Vo�te Nubienne dans de nombreux villages burkinab�s, maliens, s�n�galais, zambiens, permettant aux 200 ma�ons form�s, de construire plus de 1300 Vo�tes Nubiennes pour leurs clients villageois tout en formant de nouveaux apprentis. Ainsi, sous l'impulsion d'AVN, le march� actuel de la Vo�te Nubienne cro�t en moyenne de 50% par an, diffusant rapidement la solution VN � grande �chelle.
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Pistes p�dagogiques pour aborder la catastrophe naturelle et nucl�aire au Japon |
Par Christophe Dubois, Belgique
En tant qu'enseignant, �ducateur ou animateur, il n'est pas toujours ais� d'aborder un sujet comme la catastrophe naturelle et nucl�aire japonaise.
Aussi, � partir de pistes m�thodologiques, le R�seau ID�e propose sur son site une s�lection d'outils aux approches vari�es (documents p�dagogiques, albums et documentaires jeunesse, documents d'information, DVD, sites Internet...) qui alimenteront la r�flexion du professionnel de l'�ducation et qui pourront l'aider � construire une activit�, un cours, une animation sur ce th�me d'actualit�. Ces pistes sont divis�es en trois chapitres�:�catastrophes naturelles, �nergie, risque technologique/nucl�aire.
Pour en savoir plus
Site Internet du R�seau ID�e |
Lancement du site �ducation au d�veloppement durable au primaire |
Par Anne Marleix, France
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Anne Marleix
Terra Project
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Apr�s www.education-developpement-durable.fr, site d�di� aux coll�ges et lyc�es, Terra Project lance www.EDD-Primaire.fr, un site internet francophone, enti�rement gratuit, destin� aux enseignants du primaire et leurs �l�ves!
R�alis� par des enseignants, soutenu par l'Agence de l'Environnement et de la Ma�trise de l'�nergie (ADEME) et riche de plus de 300 ressources p�dagogiques�(exercices interactifs, sch�mas, fiches p�dagogiques, vid�os, diaporamas sur des th�mes d�di�s), EDD Primaire est id�al pour apprendre en classe ou � la maison.
Il s’adresse aux��l�ves, qui d�couvrent au fil de th�mes d�di�s, des savoirs, des ateliers, des exercices et des m�dias leur permettant de comprendre les enjeux du d�veloppement durable. Par ailleurs, parents et enseignants, une fois inscrits, ont acc�s aux contenus p�dagogiques et corrig�s, en accord avec les programmes de l’�cole primaire.
Le premier th�me abord� est celui de l’eau et d’autres viendront compl�ter le site, tels que�:�l’alimentation, les d�chets ou encore l’�nergie. Les �l�ves peuvent y d�couvrir les notions importantes et les appliquer� par le biais d’ateliers, d’animations ludiques et interactives. Ils peuvent �galement travailler sur des exercices en ligne, des fiches imprim�es, ou bien encore d�couvrir les nombreux m�dias, photos et vid�os illustrant les th�matiques.
Les enseignants ainsi que les parents, une fois connect�s, ont la possibilit� de suivre le programme p�dagogique � l’aide des fiches d�di�es, de t�l�charger des exp�riences et d’acc�der aux corrig�s des exercices. Ils y trouvent �galement de nombreuses id�es de sorties p�dagogiques pour sensibiliser les enfants aux enjeux du d�veloppement durable.
Pour en savoir plus
Site Internet EDD-Primaire
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��Habiter autrement�� : Le nouveau num�ro de Symbioses, le magazine de l'�ducation � l'environnement en Belgique |
Par Christophe Dubois, Belgique
Symbioses, le magazine belge de l'�ducation � l'environnement, consacre son nouveau dossier aux d�fis de nos habitations. Habitat durable, habitat group� ou habitat solidaire, �habitat passif ou auto-bio-construit, habitat nomade ou habitat plume... les adjectifs �s'empilent comme les briques d'un logement qui se veut diff�rent. Ils r�v�lent tous, en �tout ou en partie, le triple enjeu du ��chez soi�� de demain�:��cologique, social, �ducatif. �R�flexions, exp�riences, activit�, outils p�dagogiques et adresses utiles sont au �rendez-vous de ce nouveau dossier de Symbioses.
Pour en savoir plus�
Site Internet du magazine Symbioses |
Pour une �ducation au d�veloppement durable |
Ouvrage de Francine Pellaud, Suisse
Le livre met au jour les sp�cificit�s li�es � cette �ducation bien particuli�re et d�crit les obstacles �pist�mologiques, didactiques et p�dagogiques contre lesquels butent tant les enseignants que les �l�ves. En proposant une r�flexion sur les m�canismes mis en œuvre dans l’appropriation de situations complexes, sur les m�thodes p�dagogiques favorables � ce type d’apprentissages et sur la mani�re d’�valuer des sujets qui, de prime abord, semblent hors programmes, il offre des pistes, ouvre des voies.
La r�flexion th�orique propos�e a une vis�e tr�s pragmatique. Des exemples, tir�s de la pratique enseignante, �tayent ponctuellement ce discours, en rappelant sans cesse les applications possibles.
Si l’ouvrage s’adresse avant tout aux enseignants, de la maternelle � l’universit�, les d�cideurs y trouveront �galement des id�es, des cl�s de compr�hension et des outils th�oriques et pratiques pour d�passer les obstacles, qu’ils soient li�s � nos mani�res d’apprendre, � nos habitudes de vie, de penser, ou d’agir.
Pour en savoir plus
Site Internet EDDuquer
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Le SIF�E, tr�s actif cet �t� au Cameroun |
Par Karim Samoura, Cameroun
Le Secr�tariat international francophone en �valuation environnementale (SIF�E) est une ONG internationale � but non lucratif, dont le si�ge social est �tabli � Montr�al. Fruits d’efforts continus de divers praticiens actifs dans le domaine de l’�valuation environnementale, le SIF�E est aujourd’hui la seule plate-forme, dans tout l’espace francophone, � favoriser les �changes d’exp�riences et d’expertises entre plus de 2000 praticiens et� � d�velopper des outils les plus adapt�s et contextualis�s pour la communaut� �pist�mique.
Les activit�s phares qui contribuent � l’animation du notre r�seau d’experts du SIF�E sont, entre autres, un colloque international annuel, une �cole d’�t� en EE, des ateliers sp�cialis�s, des documents p�dagogiques et des actes de colloques.
Les prochains �v�nements du SIF�E :
L’�cole d’�t� de Douala (Cameroun) 2011
Du 05 au 10 septembre :����valuation de la durabilit� du d�veloppement urbain et industriel��, outil d’analyse de l’empreinte �cologique et des impacts sociaux et sanitaires
Le 16e�Colloque international de Yaound� (Cameroun) 2011
Du 12 au 15 septembre, sous le th�me�:���For�ts, �nergie et changement climatique et �valuation environnementale�: pour une gestion durable, du global au local��.
Le colloque est organis� en partenariat avec :
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l’Institut de l’�nergie et de l’environnement de la francophonie (IEPF)
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le Minist�re Camerounais de l’Environnement et de la Protection de la Nature (MINEP)
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le Secr�tariat pour l’�valuation environnementale en Afrique Centrale (S�EAC)
-
le Commissariat de Pratiques en �cosant� en Afrique de l’Ouest et du Centre (COPES-AOC)
Pour en savoir plus
Site Internet du SIF�E |
Stage de formation des membres du club Environnement du Lyc�e mixte d'Endom et des �l�ves de l'�cole des eaux et for�ts de Mbalmayo
Du 01 au 30 juillet 2011 - Yaound� (Cameroun) |
Par Dieudonn� Xavier Ateba, Cameroun
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Dieudonn� Xavier Ateba
Pr�sident
Plan�t'ERE |
Suite � la visite du Pr�sident de l’Organisation internationale Plan�t’ERE du 16 au 17 mai 2011, respectivement � l’�cole des eaux et for�ts (ENEF) de Mbalmayo et au Lyc�e mixte d’Endom, il a �t� convenu d’organiser une session de formation d’un mois pour les membres du club environnement du lyc�e d’Endom d’une part et un stage monographique pour les �l�ves volontaires de l’ENEF.
Ce stage se d�roulera au sein du site �cotouristique de l’ONG Volontariat pour l’environnement (VPE) � Yaound� au si�ge, sis�� Nkozoa. Le dit stage est b�n�vole, non payant et non r�mun�r�.
Le VPE� assure l’h�bergement et la nourriture des participants. Cependant, toute contribution du� participant en mati�re de restauration� nous sera d’un grand apport.
Sur le plan technique, le participant pourra �tre initi� aux techniques de sylviculture, d’horticulture, d’�levage, de pisciculture, de cr�ation de jardin botanique, de for�t de r�cr�ation, de gestion et fonctionnement des clubs � caract�re environnemental�;�il aura aussi l’occasion de s’impr�gner aux probl�matiques environnementales reli�es aux changements climatiques.
Ces formations se feront� par des ateliers th�oriques et pratiques. Les �l�ves de l’ENEF quant � eux,� dans le cadre de leur stage monographique, auront � accompagner les jeunes pour la� ma�trise de ces questions et assurer le d�veloppement de chacune des activit�s.
Pour toute information, communiquez avec Catherine Mandie, chef de projet par courriel�:�[email protected].
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6e Congr�s mondial d’�ducation relative � l’environnement
19 au 23 juillet 2011 - Brisbane (Australie)
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Apr�s Montr�al, c’est Brisbane qui accueillera le prochain Congr�s mondial d’�ducation relative � l’environnement. Du 19 au 23 juillet 2011, cet �v�nement r�unira une multitude d’acteurs impliqu�s en �ducation relative � l’environnement venus des 4 coins de la plan�te (chercheurs, enseignants, formateurs, repr�sentants gouvernementaux et municipaux, organismes � but non lucratif et entreprises).
Le Congr�s sera l’occasion pour les participants de partager leurs exp�riences, leurs pratiques et de d�couvrir de nouvelles approches en �ducation relative � l’environnement. Ateliers, conf�rences en pl�ni�res, activit�s de r�seautage se succ�deront tout au long de cet �v�nement qui abordera plus particuli�rement la th�matique des changements climatiques.
Le programme du Congr�s est accessible en ligne (en anglais uniquement).
Pour en savoir plus
Site Internet du Congr�s mondial d'�ducation relative � l'environnement
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Qu'est-ce qu'on attend pour �duquer? |
Par Marina Gruslin, Belgique
Vous �tes comme nous sans doute, pr�occup�s par� la sant� environnementale globale?
Une nouvelle souche d’Escherichia coli tueuse vient de faire s’effondrer l’�conomie mara�ch�re europ�enne et montre la fragilit� de nos syst�mes mondialis�s d’approvisionnement et de production, sans qu’on puisse pour l’instant situer avec certitude l’origine et la cause des pathologies. Les l�gumes, nos aliments de base sont pr�sum�s coupables et en attendant, �pluchons nos l�gumes, c’est de toute fa�on un bon conseil au vu des pesticides qui s’accumulent dans leur peau.
Les risques nucl�aires et les guerres qui tuent, la r�alit� actuelle n'est pas une fiction depuis ces derniers mois et cela avec certitude et sans doute pour de nombreuses ann�es encore malheureusement. D’autres inconnues nous interpellent, comme ce site trouv� par Lenny, stagiaire de la session Cerise 18 : Site Internet. Sachant que les plantes et animaux sont constitu�s des m�mes composants biochimiques et cellulaires que les humains (ADN, ARN, C, N, O, H...)� et peuvent donc ainsi �tre nos ��sentinelles�� et �alertes biologiques� pour les risques sanitaires.
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�ducation relative � l’environnement au service de la contraception verte en p�riode de crise arm�e�:�le cas ivoirien |
Par Kabran Aristide Djane, C�te d'Ivoire
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Kabran Aristide Djane
Universit� de Cocody |
Depuis le d�marrage de la crise ivoirienne, une forte mobilit� de la population est observ�e � travers le pays avec un pic apr�s la crise post-�lectorale de novembre 2010. Les femmes et les enfants restent ainsi les plus vuln�rables de cette situation. Par ailleurs, � la suite de l’embargo sur les ports d’Abidjan et de San-Pedro, l’importation de m�dicaments, s'est estomp�e, mettant alors � mal, le syst�me sanitaire et les diff�rents programmes de planification familiale en cours dans le pays.
Les d�plac�s internes en C�te d’Ivoire, les femmes en particulier, appauvries par la situation, s’en remettent alors � la m�decine traditionnelle, � leur pr�-acquis de l’environnement (�ducation � l’environnement) surtout dans la contraception en vue d’�viter des grossesses non d�sir�es, dans une p�riode aussi difficile. L’objectif de cette recherche a �t� d’observer les manifestations de cette m�thode de contraception issue de la m�decine traditionnelle, bas�e sur les connaissances de l’environnement, des plantes, chez les femmes d�plac�es de guerre dans la r�gion d’Aboisso, situ�e proche de la fronti�re du Ghana.
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R�daction et r�alisation
Pr�sent�es par ordre alphab�tique,
les personnes suivantes ont collabor� au
pr�sent num�ro du bulletin Plan�t’ERE.net
Altine Traore, S�n�gal
Anne Marleix, France
Christophe Dubois, Belgique
Dieudonn� Xavier Ateba, Cameroun
Jean Bosco Runyota, Rwanda
Jeanette Benga, Cameroun
Kabran Aristide Djane, C�te d'Ivoire
Karim Samoura, Cameroun
Marc Richepin Mandeng, Cameroun
Marina Gruslin, Belgique
Mbaundiguim Nasson, Tchad
Mohamed Lemine, Mauritanie
Robert Litzler, Canada
Tarek Nefzi, Tunisie
Organisations participantes
Agissons pour un d�veloppement durable (Mauritanie)
Asssociation pour la solidarit� des forestiers et
environnementalistes (Cameroun)
Becasse �cologie (Tunisie)
Centre d'�ducation relative aux interactions sant�
environnement - CERISE (Belgique)
Consortium �volution (Canada)
Groupe d’initiative commune des Volontaires pour
la cr�ation et la promotion des initiatives de
d�veloppement (Cameroun)
Minist�re de l’Environnement et des Ressources
Halieutiques (Tchad)
R�seau Id�e (Belgique)
Secr�tariat international francophone en �valuation
environnementale (Cameroun)
Terra Project (France)
Universit� de Cocody (C�te d'Ivoire)
Volontariat pour l'environnement (Cameroun)
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Copyright : PLAN�T’ERE
R�alisation et correction
Pauline C�t� - Plan�t'ERE
Robert Litzler - Plan�t’ERE
Jacqueline Romano-Toramanian (Qu�bec)
AQPERE et comit� des retrait�s Brundtland, CSQ
Emmanuel Rondia
Webmestre
Emmanuel Rondia
Diffusion courriel
Abdelaziz Maqboul, Plan�t'ERE
Plan�t’ERE
a/s Association qu�b�coise pour
La promotion de l’�ducation
relative � l’environnement
(AQPERE)
Coll�ge de Rosemont
6400, 16e Avenue Montr�al,
H1X 259 Qu�bec
Canada
T�l�phone : 514-376-1065
T�l�copieur : 514-376-1905
E-mail : [email protected] |
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